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Fay Woodsborrow

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Message par Fay Woodsborrow Jeu 14 Fév - 11:25

Fay Windsborrow


"Ma seule liberté est d’hurler à la lune vous le saviez ? "
I Carte d'identité du personnage

Pseudonyme : Fay Windsborrow
Age et Date de Naissance : 27 ans, le 22 Septembre, lors du solstice d’automne.
Avatar : Nephania
Race : Loup garou.
Statut de sang : Pure louve (100% bio)
Métier ou groupe d'appartenance : Photographe

II Qui êtes vous

Votre patronus : Un loup noir
Votre plus grande terreur : Des chaînes, être privée de ma liberté en sommes.
Votre caractère :
« Je m’appelle Fay. Et je fay ce qui me plait. »

Vous connaissez ces filles qu’on regarde passer et qui vous font songer à des feux d’artifices ? Mais si, ces filles qui passent d’un coup, laissant derrière elle, la seule vision d’une chevelure rouge sang. Vous voyez ce que je veux dire. Bah ces filles, c’est moi. Je suis un feu d’artifice qui explose encore et encore en millier de couleur et qui vous laisse avec une impression toute mitigée. Un goût de trop peu
Voilà ce que je suis. Un goût de trop peu. Oubliez le cliché du loup garou. S’il vous plait. Vous savez, le type ou la fille mal dans sa peau et pensez plutôt autrement. Je ne vous demande pas de penser comme un canidé, de vous mettre dans la peau de votre chien et d’aller vous balader à quatre patte avec une laisse hein…quoi que, je ne doute pas que cela excite certain d’entre vous, mais ce n’est personnellement pas mon problème. J’ai bien peu de problème en fait.

Vous savez, je ne suis ni une héroïne, ni une fille qui désire être une héroïne, je veux juste être moi. Mais quand on est la fille de mon père, être moi c’est assez pourri. Je n’ai aucun choix, aucune possibilité et si je veux faire quelque chose, il faut que je réfléchisse, toujours, parce que même si je suis une louve, et que mon père est le chef alpha, cela ne veut pas dire que je fais ce que je veux. Parce que les femmes ça n’a aucun droit et si ça en a c’est à la force du croc. J’ai toujours appris à me battre pour tout et mon père n’a en rien ménagé mon être. Quand on est comme moi, quand on a la place que j’ai, soit tu es une femelle qui attend un mâle, on t’en donne un et tu es à lui. Soit tu montres que t’a plus de trempe que tous les caniches qui t’entourent et tu égorges la première bête qui tente de te dominer pour faire de toi sa femelle.
Et dans ce cas-là, tu ne peux pas revenir en arrière, parce que tu as une fierté toute grandiose qui va t’empêcher de te faire la soumise du premier loup venu et en aucun cas, tu laisses une autre femelle faire sa dominatrice sur toi. De toute façon, les femelles, elles ne se servent à rien. Je n’en ai connu aucune qui soit valable. J’suis misogyne, je le sais et je ne m’en cache pas.
Mais vous avez pas grandi comme j’ai grandis. Je suis la louve et j’égorge. Je suis la louve et je dois prouver ma valeur contre tous les mâles. Si je ne suis pas forte et puissante, je suis agile et rusée et croyez moi, ça vaut largement le coup.

J’aime la vie, je le cache pas. Mais je n’ai ma place nulle part. Je suis louve par contrainte mais j’aime être une louve c’est le total paradoxe. J’aime hurler à la lune, j’aime courir et sentir le vent sur mon pelage, j’aime être dans une course sauvage et incontrôlable. J’aime voir les rondeurs opalines taquiner ma pupille ambre. Je me sens véritablement libre quand je suis une louve et pourtant je me sens aussi enchaînée. Parce que mon père me contrôle et ce contrôle m’étouffe, rien ne peut être fait sans l’accord de l’alpha et bien que je sois devenue l’alpha, des fois, je me dis que je pourrais si facilement lui trancher la gorge. Pourtant, il y a un respect tout humain qui m’en empêche ou tout à fait horrible. Je n’ai jamais été humaine. C’est marrant…

Je n’ai connu que les sauvages instants qui forgent le caractère trop doux pour en faire quelque chose de plus dur. Je n’ai jamais connu de visage féminin et je n’ai appris que la violence masculine. Vous savez…c’est marrant quand j’entends dire : Fay…t’es un peu spéciale pour une fille. Je ne suis pas une fille. Je suis une louve. Rien qu’une louve.
J’ai une vie humaine, mais elle m’intéresse peu. Je prends des photos, avec les appareils, je les développe, je suis un peu artiste dans l’âme. Je capte les choses que les gens ne voient pas en eux même, je fais ressortir plus qu’on ne peut voir chez une personne. C’est pas une sensibilité exacerbée, c’est un talent con qui ne sert à rien qui me vide pourtant l’esprit.

Je dis beaucoup, trop souvent, je fay ce qui me plait. C’est pas vrai. J’ai ce caractère explosif, pétillant, exalté, exacerbé. Ce caractère qui trompe totalement l’inconnu sur moi. Au fond…au fond. Qui sait vraiment qui je suis. Personne…

Votre apparence physique :

Je suis une louve blanche comme la neige, et le regard est d’ambre. Des teintes jaunes et marrons, enlacées ensembles et unie dans un mélange possessif de bestialité. Les crocs sont acérés, les griffes sont…quoi ? C’est pas cette version que vous voulez c’est l’autre. Vous êtes marrants. L’autre…
L’autre elle est plaisante, elle est belle, elle est comme tout le monde. Y a que le regard qui change pas. Le même, toujours. Bestial, animal, possessif, observateur, méfiant. Le corps est pulpeux de courbes alléchantes, rondes et pleines comme des vérités avouées sans retenues. Le corps est blanc, diaphane comme la lune, strié parfois de marques et de cicatrice. Le ventre est empli de souffrance passé et le dos est un champ de bataille où les mâles ont laissé leurs traces dans le seul but d’une domination qu’ils n’ont pas obtenue. L’épaule est la plus massacrée, la droite.
Les seins, les hanches sont des gourmandises, mais tout ça…tout ça c’est caché sous une apparence explosive, des cheveux teintés de rouge et de noir, de rose parfois et d’autres couleurs, subterfuge de magie qui dissimule la véritable couleur de base qu’on ne veut pas garder.
La taille est grande, élancée, le corps est plus agile que puissant, plus rapide que violent. Mais cette vision de moi me semble être le subterfuge.

Moi, je suis une louve blanche comme la neige. La fourrure douce et immaculée aux mouvements impérieux et lents, à la tête toujours dressée parmi les siens et même devant le mâle alpha, moi, la femelle alpha. Je ne suis pas sa femme, je suis sa fille et ensemble, nous gardons cette puissance. Celui qui voudra avoir la place de mon père, devra me dominer aussi. Et la chose est impossible, alors je reste toujours la dominatrice d’un monde de mâle où les femelles observent de loin celle qu’on voit souvent la gueule rempli de sang d’un ancien loup ayant tenté la domination…

III Don ou créature extraordinaire

Facultatif :
La lune est pleine. Pleine. Ronde. Pleine. Suave. Pleine. Blanche. Elle est opaline, elle est envoûtante. Elle est raison, elle est logique. Elle est mienne, leur, elle est…tout. Combattre le loup est une idée puérile. Le loup est l’archange de notre vie, il est ce que nous sommes et ce que nous serons toujours. Je suis née louve, je mourrais louve. La force, la rage, la transformation fait souffrance aux corps mais elle est délivrance. La lune apparait bientôt.
Nue près de mon père, je ferme lentement les yeux, en haut de la colline, en contrebas les loups en devenir et les loups éternels. Nous sommes la meute, nous sommes la grande meute, nous sommes la puissance des dieux lunaires, nous sommes l’anarchie contre les loups que l’on offense, nous sommes la force de la nature, nous sommes les maitres de nos libertés. Ai-je le choix ? Non. Je suis l’alpha, je suis celle qui mène le groupe. Un jour un loup prendra la place de mon père et je serais ce loup, accompagné de son complément qui sera mon alpha pour montrer à la meute ce que nous sommes et ce que nous serons toujours. Un jour…peut être.

Pas un hurlement n’échappera de mes lèvres lorsque je serais frappée par le diaphane lunaire, pas un hurlement autre que l’appel sous la lune ne sera revendiqué. Je suis fierté et je suis orgueil, je suis la louve alpha. Et même la femelle, les femelles de mon père ne saurait prétendre à cette place tant enviés tant elles ne sont que des rouages fertiles d’une position qui ne leur confère que le droit du silence et quelques louveteaux en vie, selon ma propre volonté. Car oui, je tue mes demi frères et mes demi sœurs, j’ordonne le sacrifice de ma lignée car certains me défient et meurent, car ils veulent ma place.
C’est un régime bestial qui anime nos cœurs, nos rages et nos esprits, chamans et sorciers, loups éternels et lutte acharnée. Nous sommes rouages d’une guerre, la horde, la meute, nous sommes violence. Et aucun impudent ne se risquerait à se glisser dans nos troupes. Nous ne soumettrons plus jamais nos esprits à la domination sorcière ou moldus et de leur vaste science, de leur vaste évolution nous en ferons néant. Anarchique néant.

-La lune est pleine. Pleine. Ronde. Pleine. Suave. Pleine. Blanche. Elle est protectrice et dans ses jupons d’argent sommeille les dieux lunaires. Sin de Babylone, maître du temps qui nous donnera les heures pour tuer. Le sage Thot, de l’Egypte qui nous donnera la précision de chiffres pour connaitre nos adversaires. Khonsou, le navigateur, le terrifiant, source de notre rage. Chandra de l’inde, signe de la mort qui viendra frapper, lorsqu’il éclipsera la lune, signe de mort et de désastre pour ceux qui blasphèment les loups et les rendent asservis. Séléné de Grèce qui protège chacun d’entre nous en caressant nos corps de ces rayons. Mama Quilla, l’inca, qui veille sur les femelles dans ces nuits où elles ne peuvent combattre, pleines. Dieux, déesses, enfants de la lune…nous sommes libre, LIBRE de hurler à la lune.

Un cri s’élève de la foule, un cri commun, les loups éternels hurlent avec fierté tandis que nous, encore humains laissons nos corps se tordre. La douleur prend en premier lieux dans le creux des reins, une douleur incendiaire qui se propage lentement autours de ce point précis répandant la fourrure lentement, le corps non habitué pourrait tomber au sol, frapper le sol, hurler mais, fiers, le père et les shamans, les purs guerriers se tiennent ainsi fiers, droits, luttant contre la rage douloureuse et le corps entièrement crispé, les poings serrés j’affronte encore une fois la transformation incontrôlable que posent les rayons de la lune sur mon corps.
Le pelage arrache la peau humaine, l’écorche pour faire présence et la colonne vertébrale se casse, comme chaque os du corps, résister est impossible, se laisser aller vaut mieux que toutes les résistances. Et le corps craque, les os se déboitent, tomber au sol et se tordre sous la douleur violente, rapide, possessive jusqu’à sentir son propre visage se briser, la bouche devenir une gueule et s’allonger, les oreilles se former, la longue queue s’échappe avec panache et se redresser. Combattre la douleur de cette transformation, secouer son pelage pour laisser tomber les morceaux de chairs humaines, en être entouré. S’avancer vers la falaise, pattes après pattes et sentir à chaque mouvement comme une dague à la place de la patte. Les hanches plus douloureuse encore mais c’est la force du Loup.

La gueule s’entrouvre et l’haleine chaude caresse la langue, contraste certain avec l’air froid ambiant, la langue halète un instant, glisse sur la truffe et se cache de nouveau, la tête se tourne et regarde le père. Il s’est redressé mais la souffrance use son corps et bientôt une transformation lui sera fatale, le laissant mort pour toujours. C’est ainsi que nous finissons tous et c’est ainsi que je finirais moi aussi.
Tournant la tête sur ma droite, il se tient là, le grand loup Noirs, je sens sa douleur, je la connais, Ambrosius a toujours mal. IL aurait aimé prendre sa potion tue Loup, il ne peut pas, il a un rôle à assumer désormais.
Je n’attends pas mon père, car je serais leur Alpha un jour et sans aucun loup à mes côtés, je dominerais cette meute qui me suit désormais plus qu’elle n’a jamais suivis mon père. Nous sommes les descendants des premiers loups et de ce fait, la gueule se redresse et un lent hurlement s’échappe d’elle rejoint bientôt à l’unissons par des milliers d’autres hurlements.

IV Votre histoire

Année à Poudlard (pour les élèves) : ///
Ses parents : Mon père est le descendant direct du premier loup. Il est l’alpha de la meute.
Sa famille proche (facultatif) : Ma famille ? Ce sont les loups, tous les loups. Parmi eux, je suis la femelle alpha, princesse de cet univers barbare si je puis ainsi me qualifier et j’ai la ruse et l’agilité plus que la force pour les mener à la guerre. J’ai des demi-frères, des demis sœurs, bâtards, qui se plient à moi. Car je suis l’incarnation de l’alpha pour tous les loups de la grande meute.

Son histoire :

Mon père Richard Woodsborrow est l’héritier de la meute. Le fils alpha, du mâle alpha et ainsi de suite, et cela depuis l’existence du premier loup. Mon père Richard Woodsborrow est ma seule autorité. Mais il n’a pas le temps de s’occuper de moi. La mère est morte. En couche durant le soir de la pleine lune. Pour le solstice d’automne. Les shamans ont vu ma naissance comme la présence d’une nouvelle ère. Mama Quilla n’a pas protégé la femelle, ni les deux frères. Elle a laissé mourir la mère et les autres petits pour faire naître la fille et l’enfant assoiffé s’est nourri aux tétines alourdies des louves, elle est née louve, elle est venue à la vie durant la pleine lune, elle est venue au monde loin de la fausse apparence. Elle est louve avant d’être femme. Cela voudrait dire qu’un jour, elle tuerait elle-même l’alpha. Elle serait libérée même de ces chaînes-là car elle serait la louve libre de hurler à la lune. Et elle serait aimée des siens. Elle serait respectée et le mâle qu’elle aurait choisis serait le complément parfait pour la meute, plus que pour eux-même.

Les shamans on des fois de drôle d’idées vous ne trouvez pas ? Mais c’est ce que tous murmurent sur moi, et rien que de ce fait là, ils m’aiment tous. Trop peut-être. Je suis l’enfant de la lune plus que la plupart d’entre eux. Je ne suis pas une louve éternelle, je ne suis pas vraiment une femme. Je suis une louve.

Quelques parts en Europe, j’ai six ans
-Fay ! FAY ! T’a pas le droit ! T’es qu’une tricheuse !

Le petit garçon est essoufflé. Sur la pelouse verdoyante d’un château dissimulé dans des hautes montagnes, il court, encore et encore, essayant de rattraper cet animal blanc qui s’échappe à lui. Il veut me prendre dans ses bras, encore. Je n’aime pas ça. Il est collant ce petit garçon. Il pègue. Je n’aime pas les garçons, les petits garçons humains. Je veux retourner vers la meute. Je les sens au loin, l’odeur de leur force fait saliver mon palais, je ne reprendrais pas forme humaine tant qu’Il ne sera pas revenus me chercher. Je ne veux pas.
La queue est tirée et c’est avec rage que je me tourne pour mordre la main d’un petit d’homme qui n’a rien demandé. Il se met à pleurer. Le corps rabaissé vers le sol, les oreilles en arrière, je suis dangereuse, déjà, je grogne, sourdement, je préviens.

-Fay pardon. Je voulais pas…Fay allez viens. Viens… Un aboiement menaçant, petite louve dangereuse, encore un louveteau peut-être, mais la main blessée est retirée de justesse de ma rage. Patte après patte, je m’avance, tout doucement, et le petit garçon se met à courir, je peste, grogne et crache, petite louve deviendra un jour grande. Je veux rejoindre la meute…les miens. Ma seule famille.

Le petit garçon court et pleure. Petit humain imbécile. Va donc pleurer dans les jupes de ta mère. Je ne retournerais pas dans cette demeure. Je veux ma meute, je veux mon père, je veux les miens !
Je me redresse et je cours à l’autre bout de la pelouse, m’engouffrant dans le bois. La liberté…il suffira de trouver la meute à l’odeur pour la rejoindre. Je pourrais retrouver les miens, je ne serais plus enfermer dans ce château sinistre avec ce petit garçon qui m’adore. Je veux rentrer chez…

Mes yeux s’écarquillent. Un haut mur d’enceinte se dresse face à moi. Non…Non ! Je dois pouvoir sortir. Je veux sortir ! Je ne veux pas rester là ! Je veux m’en aller ! Je veux rejoindre ma meute ! Je ne suis pas faite pour être ici. Je veux rentrer chez moi.
Je longe le mur, je cours, je marche, je reprends ma course, pas un seul trou, pas une seule échappatoire. Je couine, jappe, rien. Et même sous la pluie qui tombe, je continus, jusqu’à ce que, doucement, je me dissimule sous un amas de pierre, cachette silencieuse d’une petite louve qui pleure sous la lune naissante.

Deux jours ont passé. J’ai compté.
Deux jours. Le soleil s’est levé et s’est couché. Puis, il s’est levé encore. Et je suis restée là. Impossible de sortir de ma cachette. Je n’ai pas mangé, je n’ai pas repris apparence humaine. La mère du petit garçon m’a apporté elle-même a mangé. Des fois, elle se prend pour ma maman, je n’aime pas ça. Je ne l’aime pas cette femelle, je n’aime aucune femelle !

Deux jours ont passé. J’ai compté.

-Tu es une capricieuse avant d’être une louve ma fille.

Je redresse mon visage. Mon père ? Mais…je n’ai rien senti. Le vent ne m’a pas apporté son odeur. Et…je me sens fatiguée, ma tête est lourde. M’extirpant de ma cachette, lentement, la fièvre agite mon corps animal, je me sens fiévreuse.
Je pousse un grognement alors que mon père me saisit par la peau du cou, me portant à la hauteur de son visage. Mon père est grand, carré, son visage est massif comme son corps tout entier. Il me fixe, et sa domination m’oblige au silence. Il me fait mal.

-Capricieuse oui, uniquement cela.

D’un geste impérieux, il me jette vers la terre et le petit corps animal heurte le sol dans un glapissement plaintif, mon corps souffre et redevient humain, la longue chevelure blanche remplace le pelage, je retiens mes larmes. Pleurer devant mon père est une idée inconcevable, il me frapperait peut être plus fortement. Je tousse, il s’abaisse vers moi et touche mon front.

-En plus tu es brûlante ? Que vais-je faire de toi Fay ? Je te place chez la famille Ivanov pour que tu apprennes ce que je n’ai pas le temps de t’apprendre et tu ne songes qu’à courir avec la meute. J’aurais ainsi l’honneur d’avoir une louve ignorante pour fille, incapable de savoir ces choses qu’on doit apprendre. Incapable d’utiliser le moindre sort de magie. Tu es médiocre.

Les mots de mon père sont cinglants pour une enfant et la fièvre et la fatigue vont venir plus vite à mes yeux des larmes tranchantes. Je pleure. Sans ménagement aucun, il me soulève et m’entraine vers la demeure….

Combien d’heure ont passé ?
Je ne sais pas, je n’ai pas pu compter.
Combien d’heure ont passé ?
Je ne sais pas, la fièvre m’a trop possédée. Le petit garçon est assis là, grignotant des biscuits au pied du grand lit. Je le regarde, non pas sans animosité. Sa main est bandée, mais il se tient là.

-Tu crois qu’on va devenir frère et sœur ? J’ai vu ton papa embrasser ma maman sur la bouche.

-Mon papa il a tué le tient, il prend juste ces droits sur sa femelle maintenant.

Je ne veux pas de frère, je ne veux pas de sœur. Je ne veux rien de tout cela. Ça ne m’intéresse pas. Mais le petit garçon est triste. Il baisse le nez, visiblement malheureux. Mon père a tué le sien, un sorcier qui n’a pas voulus écouter la dominance du loup. Il en est mort. Il est donc logique que le loup possède la femelle du vaincu. Tout simplement et cela semble faire beaucoup de peine au petit garçon. Il renifle.
Je le regarde sévèrement avant de soupirer et me sortir des couvertures pour aller lui faire un câlin, posant ma tête sur ses jambes. Il reste un peu surpris avant de baisser son visage et me faire un bisou sur la joue, posant sa tête sur mon dos.

Quelques parts en Europe, j’ai douze ans.

Le petit garçon est partit depuis deux ans à Poudlard, mon père a insisté. Je ne voulais pas qu’il parte, le petit garçon aime être un sorcier. Un sang pur. Les sorciers c’est nul. Les sorciers ça ne fait rien de bien. Les sorciers nous obéissent…
Le petit garçon est devenu un jeune garçcon. Mon père est le mâle dominant de sa mère et elle se tient souvent dans nos lignes. Elle n’est pour moi que peu de chose, ce n’est pas une louve. Je n’ai que douze ans.

Parmi la meute, je n’ai pas ma place avec les loups, mais je dois traîner avec les louves. En arrière. Je n’aime pas cette place. Les shamans n’arrêtent pas de dire que bientôt je serais prête pour un mâle. Je ne veux pas être prête pour u mâle, je ne suis pas une idiote, je sais ce que cela veut dire. Je ne veux pas de dominant. L’idée ne me plait pas.
J’ai grandis, j’ai appris des choses, c’est la mère du jeune homme qui me les as enseigné. Lire, écrire, ainsi que lancer quelques sorts. Je suis une sorcière aussi, mais je n’aime pas être une sorcière. Je suis une louve.

Cette nuit-là, j’ai douze ans, tout est calme. Trop calme. Seule, le corps couché dans l’herbe humide, je regarde la demi-lune d’une pupille maussade. Au loin, j’entends les grognements, les hurlements des loups. Ils se battent et les femelles observent. C’est le soir de la domination et mon père est le champion massif de ce jeu. Je n’ai pas envie de regarder, je me sens fatiguée ce soir. Ma transformation m’a fait mal plus qu’à l’accoutumé, mon corps est endoloris, parsemé de courbature.

L’odeur du vent m’amène celle d’un loup. Redressant mon visage, tournant la tête, j’observe Lucius qui s’approche de moi, le grand loup gris, deuxième bête dangereuse de la meute. Je ne l’aime pas, celui-là. Fourbe, mesquin, il ne rêve que de la place de mon père et rage de n’être qu’un médiocre à côté de lui. Tout le monde le sait, tout le monde le voit. Il me tourne autours depuis que j’ai atteint ma douzième année, attendant quelque chose…mais quoi ? Je n’en sais foutrement rien.
Son museau se baisse vers mon pelage, il renifle, lentement, longuement, et quand sa langue effleure l’intimité de la louve, je me repousse brusquement. Il me regarde, de son air impassible, s’avançant dans un mouvement puissant et lent, mesuré à la perfection. Une odeur…de sang cingle l’air autours de nous. Mais d’un sang différent que celui connu. A mesure que je recule, les oreilles baissées, je le vois s’avancer, plus dominateur, plus puissant, plus imposant. Les sens en alerte, inquiets, les pensées en mouvement. Cette odeur de sang…vient de moi.

Mon cœur tambourine dans le thorax, la règle du loup. La femelle, en devenant fertile, devient bonne à unir. Et le loup alors peut réclamer la domination d’une femelle, jusqu’à ce qu’un autre la conteste. Non….pas lui. C’est donc pour cela qu’il me tourne autours, uniquement pour ça. Ils croient tous dur comme fer à ce qu’on dit les shamans. S’il devient le premier, il sera le mâle alpha, mais je ne suis pas la louve alpha. Je vais devoir le devenir….
Un pas à droite, il fait de même à gauche. Danse de fuite interrompue sans cesse, il me bloque au final. Non…le loup malsain agit avec une douceur toute machiavélique. Je ne suis pas en chaleur, je suis juste prenable pour l’union. Il baisse lentement son museau vers moi…lentement…si lentement. Je retiens ma respiration, fermant les yeux avec force, mais qu’est-ce que je fais ? Je ne suis pas une de ces femelles, je suis une louve. Une louve. Et je deviendrais une alpha. Une alpha…UNE ALPHA !

Mes griffes s’abattent sur son museau dans un mouvement bestial, mes babines retroussées montrent les crocs et du font de ma gorge sort le grognement impudent de la louve qui ne veut pas. D’un mouvement de sa tête, il se retourne, crocs acérés en évidence et sa mâchoire béante me semble être un gouffre terrifiant. Je ne dois pas craindre, ni avoir peur, cela ne me donnera rien. RIEN !
Il enfonce ses dents dans la chair de mon cou et je pousse un hurlement de douleur, un couinement, il me fait mal. J’ai mal…je ne veux pas de ça. Je ne peux plus bouger, il est plus fort, plus puissant que moi, le moindre mouvement me causera une blessure terrible. Mais c’est la mort ou sa couche et je préfère la mort.

Il relâche la prise de ses crocs, juste à peine et je m’arrache de sa force. Le cou, en sang, je m’oppose à lui. Les crocs s’affrontent, les griffes et c’est ma gueule à sa gorge que je dévale la pente où les loups se tiennent à leurs combats de domination. Ils cessent tous en nous voyant arriver, ils cessent tous et nous regarde ahuris alors que Lucius atterris sur moi, laissant croire que je suis dominée, mais, mes crocs déchiquètent, mes crocs arrachent sa chair et les lambeaux sanglants qui se décrochent répandent le vermeil de son sang sur ma fourrure. Il tombe et je m’acharne pourtant, je perds ma conscience, je perds mon raisonnement.
Et les loups essayent de se rapprocher pour me calmer, un regard en me détournant sur eux, la gueule baignant dans le sang de l’un des leurs, ils se repoussent effrayés, c’est mon père, qui lentement prend place près de moi. Il pousse doucement mon corps de celui de Lucius, renifle l’odeur de mon changement, mais, il regarde alors l’assemblée de ses fidèles et d’un hurlement à la lune, proclame que désormais, Lucius a perdu son rang. Je ne suis non pas l’oméga, mais il me place comme Alpha. Et il lèchera alors le sang du loup mort sur mon pelage, ils le feront tous, approuvant qui je suis devenue.

Quelques parts part en Europe, j’ai quatorze ans


Je cours, retenant mon rire, retenant le chapeau qui va s’envoler. Et il me tire par la main, me soufflant de me bouger le cul. Il a seize ans lui maintenant. Le jeune garçon. Mon père nous cherche. Qu’avons-nous fait déjà ? Nous avons désobéit. C’est l’été. Il revient de Poudlard. Il devait m’apprendre à manier ma baguette. Oui, j’ai une baguette, mais la magie c’est pour les sorciers, je n’aime pas ça.
Mon père veut que ce soit lui, le jeune garçon, qui m’apprenne. Je ne veux pas apprendre quand je suis avec lui, je veux jouer. Je veux jouer avec lui. Les loups de la meute ne jouent pas avec moi, ils veulent tous qu’une seule chose, me dominer. Et avec le petit garçon, qui est devenu un jeune homme, je peux jouer, insouciante et libre. Je peux m’amuser.
C’est étrange, il est mon meilleur ami, un vrai, un pur, un simple.

Il me tire à lui, me plaquant contre le mur du château, mon dos contre la pierre, son corps contre le mien, il est essoufflé et je le suis aussi. Nos visages sont penchés vers le coin du mur, le vent entraîne nos odeurs dans le sens opposé. Mon père est fou furieux. Je retiens mon rire, regardant le jeune homme.
Chaque été il revient, chaque été il m’appartient. Il est à moi, je suis une possessive. Il est mon ami, mais je ne saurais concéder son approche à une autre louve et même s’il se tient à nos côtés dans la meute, il reste propriété unique d’une Fay absolutiste à son égard. Ce n’est pas, que je l’aime, je crois. En vérité c’est autre chose. Il est simplement à moi. Il aime, les femelles de sa race, c’est son choix. Mais je prime sur elles. Il est à moi.

Il me regarde, essoufflé et sourit.

-Tu viens avec moi ce soir ? Je sors…je t’emmène.
-C’est la pleine lune ce soir. Je ne peux pas.
-Merde, c’est vrai…

Il passe une main dans ses cheveux. Je le regarde, les yeux suivent lentement les mouvements de son visage. Ses paupières qui s’ouvrent et se ferment, ces cils qui voilent son regard dans des mouvements rapides, sa bouche entrouverte et son souffle profond et difficile. Sa peau est moite, légèrement transpirante et ma langue doucement, sans comprendre pourquoi se glisse le long de sa joue, mes mains se posant sur ses hanches. Il reste surpris et me regarde, docilement, sa langue vient caresser ma joue de la même manière et je ris en même temps que lui.

Nous sommes amis.

Quelques parts part en Europe, j’ai quinze ans

J’ai quinze ans. Je parle beaucoup de la meute, mais je ne dis rien sur notre vie.
J’ai quinze ans. Je ne suis jamais allée à l’école. Tout ce que j’ai appris, je l’ai appris seule ou avec la femelle humaine de mon père, rarement avec mon père et beaucoup avec le jeune homme.
J’ai quinze ans, nous vivons pourtant dans un château typiquement sorcier. Je me fais souvent passer pour une humaine, je voyage depuis plus d’un an. Je conduis un engin motorisé pour passer inaperçue parmi les hommes. Même si cela n’est pas vraiment nécessaire. Mais j’aime bien cet engin, c’est la seule chose qui me plaise en vérité et qui ne soit pas lunaire. Père me laisse un peu m’éloigner de temps à autre, quand nous ne sommes pas loup, nous faisons partie du monde d’une manière différente. Ce n’est pas très agréable. Mais cela peut être amusant.

Qu’est-ce que je fous parmi les hommes, humains et tout cela ? Je ne sais pas trop, je crois que je côtoie autre chose. Par curiosité comme tout le monde, un jour ou l’autre dans sa vie, et cela me confirme toujours que ma seule vraie place est parmi la meute. Mais au-delà de la bestialité de nos nuits, on doit aussi se trouver parmi un monde d’homme. Moi, ce que j’aime dans ce monde d’homme c’est capturé des images de vie. Ça me fascine. J’ai plusieurs appareils pour ça, ce sont des cadeaux du jeune homme.
Je loge dans un petit appartement, un studio un peu minable, y en a plusieurs sur ma route, il semblerait que mon père ait fait pareil dans sa jeunesse et tous les nôtre avant lui. Je suis l’inconnue dans une société et je m’attarde parfois. Je ne me lis d’aucune amitié. Je ne m’attarde que peu, je vis, tout simplement, sans considération.

Mais ce matin-là, j’ai quinze ans et la température de mon corps commence déjà à s’élever…
Perdue dans les méandres de ma couette, je gémis. Je repousse l’épaisseur sur moi, me tortillant dans tous les sens, énervée, grognon, encore ensommeillée. Je ne veux pas me lever, je veux rester dans mon rêve. Il y a ce loup qui court, ce grand loup blanc, je dois le suivre. Je suis nue, la forêt est sombre, la lune est noire.
Je cours dans la forêt, le cœur palpitant, cinglant mes tempes de ces lourds battements. La sueur perle le long de mon dos, disparait entre les sinueuses courbes des vallées opalines. La sueur perle et serpente sur ma chair blanche, se dérobe sur les pentes vertigineuses des monts olympiens de la féminité humaine. La sueur perle et disparait sur la chair nacrée.
Le loup court devant moi, mais je le perds. Il court et me distance, il court et je le perds, je lutte contre les herbes, les ronces qui lacèrent ma chair, me bloquent le passage. Je me tords, lutte, grogne, lentement, j’ai l’impression que les racines et les ronces cherchent à m’ensevelir et bientôt elles brisent ma chair, la cerclent, griffent l’épiderme en feu et en sueur. La lutte est acharnée, je grogne, je peste !

Mes fesses heurtent violemment le sol, mon corps est empêtré dans la couette. Le cœur bat vite, je transpire.
Mes fesses heurtent violemment le sol, les corps est en sueur, brûlant, il a terriblement chaud, la bouche est pâteuse
Doucement, lentement, bougonne, je me sors de l’enchevêtrement du tissu, une brûlure me couronne le bas du dos, provoque un frisson sans égal le long de ma colonne vertébrale. Je passe une main sur mon visage…Il y a une odeur aux alentours qui chatouille mon odorat. Une odeur fauve, animale, qui fait frémir le bas de mon ventre. La tête se redresse, je cherche d’où viens cette odeur. Ce parfum, délectable, envoûtant, piquant d’homme et de virilité. Il enivre mes sens, le souffle devient plus court, plus intense, plus profond.
Les yeux clos veulent cette odeur, cherche cette odeur, elle m’enrobe doucement, lentement, elle tortille mon esprit, je la sens, autour de moi, sur moi…non…je la veux…sur moi.

Oh bon sang ! Je suis en chaleur.

J’ouvre grand les yeux sur cette constatation. Oh non, non, non. Pas ça. Pas ainsi. Pas…je ne veux pas. Je n’ai jamais vu le loup, le jeu de mot est facile, mais il est vrai. J’ai combattu les prétendants, je n’ai jamais cherché à m’accoupler. Si la fertilité arrive tôt, les périodes de chaleurs sont différentes, elles ne se mettent en place qu’à une certaine période. Et quand elles arrivent, le corps cherche, désire, la virilité, l’odeur de la luxure et du stupre, le besoin nécessaire, puissant, de l’accouplement, fructueux ou non. Le sentiment est viscérale, possessif, incontrôlable. L’on peut y résister sans devenir fou de rage, attendre deux jours, lutter contre l’envie, le désir, le besoin, mais le moindre morceau de chair à notre vue devient alors objet de désir, assouvissement de bas instincts.
Frénétiquement, je me redresse, une douche, calmera peut être la fièvre, une douche fera peut-être disparaitre ce besoin possessif, brûlant qui frappe le creux de mes reins, incendie ma pensée, frappe mon cœur et mon corps, mes mains se referment sur le tiroir ouvert. Mes doigts se serrent, un peu, beaucoup, les articulations blanchissent. Cette odeur…elle est…à ma porte.

L’œil luit. La porte s’entrouvre légèrement sous ma main et dans l’encadrement, je le vois lui. Le petit garçon, le jeune garçon, le jeune homme désormais. Il me sourit, de son air imbécile d’homme, il me regarde comme un frère regarde une sœur et moi brûlante de fièvre, enivrée par son odeur, je le fixe, avec délice.

-Tu dormais encore grosse feignasse ? Je passe te chercher, on sort ce soir je te rappelle.

Il rentre, sans chercher vraiment à se gêner. On doit sortir ce soir. En effet…j’avais presque oublié. Il fait chaud dehors, j’ai chaud à l’intérieur et de grosse goûte transpire sur ma peau. Je le regarde, je dessine le contour de son corps avec mes yeux, je mords ma lèvre inférieur.
Il ramasse la couette et la balance sur le lit, s’y laissant tomber comme un gosse. Les loups…il ne voit pas les loups comme des femelles de sa race, il en drague des milliers d’autres, des sorcières, de sa condition, de son pédigrée et moi, en cet instant, les hormones sont en ébullitions, elles tournent et tournent encore dans le seul but d’agiter mon corps.
Le petit garçon, le jeune garçon, le jeune homme avec son air imbécile d’homme….je le regarde, dessinant son sourire à ma pupille, et je me rapproche lentement.

-Bon tu te prépares, t’a faim ? Je te fais le petit déjeuner ?

Il sort de sa manche sa baguette magique et la dresse vers la table basse, il prononce un sort, mais je ne regarde pas vraiment ces gestes, mes yeux sont plongés sur son visage, observent son regard et je me laisse alors retomber contre lui, assise, je lèche sa joue, lentement.
Il sourit, amusé, se tourne et fait de même à mon visage.

-Ouah Fay t’es brûlante.

Il touche mon front, s’inquiète rapidement. Je repousse sa main, il insiste, ça m’énerve. Je grogne, je peste, je proteste.

-Fay, déconnes pas, laisses-moi…
-Je ne suis pas malade ! Je suis en chaleur.

Il me regarde avec de gros yeux, ne sachant que dire, je le vois bien. Stupide mâle. Il n’est pas un loup. Un loup aurait vu de suite cet état, il aurait vu immédiatement ce qui devait être fait. Oh mon Dieu, cet imbécile me regarde sans savoir que dire et je n’ai pas envie de lui expliquer les complexes rouages des chaleurs.
Quand les louves sont en chaleurs, les mâles se battent pour avoir le droit de les prendre. Et si le mâle devient le dominant de la louve, elle lui appartient. Tous les loups n’ont pas le droit de devenir des dominants, les loups éternels ne le sont qu’entre eux et encore. Sous la forme lunaire, nous sommes primaux, sous la forme humaine, nous le sommes plus encore mais ce qu’il y a de pire, c’est que sous cette forme, les combats sont plus violents. Coucher avec un autre loup n’entraîne point toujours la dominance, ce n’est que la satisfaction des chaleurs par le gagnant.

-Non Fay, t’es comme…ma petite sœur.

Il m’énerve ce n’est pas de cela que j’ai envie. J’ai envie de sentir son corps, respirer le parfum de sa chair. Si ce n’est pas lui, ce sera un autre. Non…pas un autre. En dessous de mes sens en alerte et prêt à exploser, il y a la fierté orgueilleuse, je n’ai aucune envie de perdre ma virginité avec le premier loup venu. Il n’y aucune considération remplie de morale, juste…je n’ai pas envie de ça, comme ça. Cela ne m’intéresse pas, je n’ai…
Je grogne, essayant de reprendre mes esprits.

-Va-t-en.
-Mais…Fay…
-Quoi !

Je suis agressive, je le sais.

-J’ai appris beaucoup de chose sur les loups tu sais…
-Tu vas pas me faire chier avec ton putain de Poudlard !

Dis-je en me redressant vivement. Il me retient par le poignet et me tire à lui. Il m’énerve plus encore quand il fait ça. Pourquoi n’a-t-il pas son caractère de cochon comme à l’accoutumé ? C’est vachement plus facile quand il est en colère, énervé, contrarié, plutôt qu’enrobé de gentillesse, de tendresse.

-Désolé, désolé…mais ne soit pas tant agressive avec moi. Il m’encercle de ses bras et le parfum de son corps est une torture pour mes sens en alerte. Il sent bon, il sent la virilité, Tu es comme ma petite sœur depuis toujours, tu le sais bien. Mais je n’ai pas envie que tu…
-Ne pars pas dans tes raisonnements humains ! Aboyais-je
-Si ! Je veux partir dans mes raisonnements humains. Fay, tu es brûlante, si je m’en vais, tu vas vouloir sortir, je le sais. Et tu vas… Il ne termine pas sa phrase, se contentant d’embrasser mon épaule après avoir murmuré à mon oreille. Je ferme un instant les yeux, je me sais, je me sens agressive, j’ai pourtant le raisonnement lent. Je peux encore, pour l’instant avoir la primauté sur mes sens, car ce sera ce soir, dans la nuit, alors que la lune ne sera que noire, que les chaleurs seront à leur paroxysme.
-Je ne veux pas…donner la virginité à n’importe qui…mais je refuse de m’attacher à la maison.
-Je ne peux…je ne peux pas Fay, tu es comme ma sœur. Me supplie-t-il, encore une fois, faisant remonter ma colère. Je grogne. Arrêtes…j’y peux rien. Tu es ma seule vraie amie…
-Si je suis ton amie….tu dois m’aider…

Il me relâche, me regarde, bercée par la chaleur de mon propre corps, j’ai l’impression que tout se passe au ralentit. Il me dit qu’il ne sait pas que faire. Moi, je souffle que c’est facile, il suffit de prendre le premier rempart, perdre le voile rouge de l’enfance, rien de plus, ce voile que j’ai préservé contre tous les dominants.
Il me murmure que je peux faire ça seule. Les corps se regardent sans s’approcher. La distance est minime et pourtant si grande, enfant je suis pour lui, enfant je resterais toujours. Il me parle comme un grand-frère. Ne voit pas autre chose en moi. Il me parle d’objet, pour une fois, j’ignore et je ne sais pas. Je tremble…

Quelques instants plus tard, habillée toujours, blottie contre lui, sa main tient quelque chose de phallique. Son corps dans mon dos, le mien lové à l’épouse parfaite du sien, j’entends les tremblements brûlant de mon corps. Il me parle, inlassablement, ses doigts écartant doucement mes cuisses, habillée entièrement, je reste contre lui, ainsi.
Entre mes cuisses se rapproche la dureté phallique d’un jouet de plaisir qui prendra pour moi cet inconvenant hymen. Le jeune homme, l’ancien jeune garçon, l’ancien petit garçon ne veut pas faire plus, ne se sent pas capable. Il est mon ami…mon frère, comme il le dit. Je ne suis pas certaine, je ne le suis plus, sur ce sujet-là.
Les yeux se ferment lorsque la rondeur allongée écartent lentement les chairs intimes. Ma main se ferme sur la sienne, mon cœur se suspend, comme ma respiration. Il me rassure. Doucement, il continue. Et je sens la douleur qui assouvit la brûlure dans le bas de mes reins. Je sens la douleur qui me laisse échapper un cri. Il s’arrête, retire, revient lentement….

Quelques instants plus tard, habillée, toujours blottie contre lui, sa main dans la mienne, l’autre sur mon ventre, le sang perce l’odeur de nos esprits, entre mes cuisses il perle lentement et plus un mot entre nous n’est prononcé. Quelque chose s’est cassé entre nous deux, mais nous ne le savons pas encore.

Quelques parts part en Europe, j’ai quinze ans encore

Il existe un endroit où l’on ne rentre que sous plusieurs conditions. Etre un loup ou être accompagné d’un loup, qui vous fera rentrer. C’est un endroit que vous n’aimerez pas, ça s’appelle Le Selené. Un vaste, très vaste hangar en Allemagne à vrai dire, là où les loups on prit les territoires. Les sorciers qui nous ont prêtés allégeance peuvent rentrer, ils doivent être accompagnés de l’un d’entre nous.
Le Selené appartient au mâle Alpha, à mon père et donc à moi, c’est un deuxième endroit de regroupement et quand on rentre là-dedans…on comprend vraiment que les loups sont loin d’être en faible nombre.


Les grands loups massif de l’entrée m’ont regardé suivis d’Ambrosius, pas vraiment rassurer de se retrouver dans un tel endroit. Il a bien tords, nous sommes sur mon terrain de jeu, il ne risque rien.
Je suis toujours en chaleur…et les odeurs de mâles en sueur se répandent autours de moi dans un délice d’effluves plus puissantes les unes que les autres. Ambrosius ne voulait pas venir là, il ne voulait pas venir dans ce repaire de loup.
Mon père est présent ce soir, siégeant sur le siège qui gouverne toute la salle, il observe attentivement ses troupes. Et les loups me regardent sur mon passage, je tiens la main d’Ambrosius, je le traîne derrière moi, tandis que les mâles m’observent, sentent l’odeur des chaleurs. Ils regardent au passage, contenant leurs sens en éveil.
Je me délecte sentant leurs regards, leurs bestialités posées sur moi, dans ma robe, perchée sur des talons vertigineux, je n’ai que quinze ans, mais les formes n’attendent pas les louves.

Je me dirige vers le podium central, les loups me hissent dessus et je regarde les enfants de la lune, meute délectable, femelles, mâles et autres. Ambrosius n’est plus là, mais je n’ai plus conscience de tout cela. La musique commence à gagner mon corps, je souris de cet air lupin, l’œil brillant d’ambre se reflètent avec délice et lentement, gagnée par la fièvre de la musique et de la chaleur inhabituelle de mon corps, je me mets à danser. Fiévreuse, envoûtante, les hormones gagnent plus farouchement le corps tout entier, dans la salle, certains dominants se rapprochent, pas tous, peu peuvent oser se prétendre digne de l’alpha, ils se mettent à se battre, poings contre poings, force contre force, certains se transforment, d’autres nom et l’esprit de la louve, mon esprit, se délecte de ses combats, certains parviennent à monter sur la scène, sont rejetés jusqu’à ce qu’il y en ait un…

Le père observe tout cela, l’alpha, regarde.
Ambrosius, le petit garçon, le jeune garçon, le jeune homme….n’est plus là. Il n’a pas dut vouloir observer ce spectacle primaire, bestiale. Dans la foule qui danse, certains loups sont désormais enchevêtrés à se posséder, en dansant, à même le sol, les louves sont nombreuses à être en chaleur.
Au centre de la scène, la robe à moitié arrachée, le corps en arrière, se cambre et se cambre encore sous les assauts possessifs du loup qui a un privilège étrange. L’esprit n’a plus de raisonnement, plus de logique, plus que la bestialité du groupe de loup. Et je suis au centre de cette scène, assise sur le loup, baisant son corps, transpirant avec fureur sous les assauts que je provoque. Il est le soumis de l’alpha et je baise son corps avec ardeur, exaltée, possédée par le loup, possédée parce que je suis au fond de mes entrailles.

Quelques parts part en Europe, j’ai presque dix huit ans

Ce soir, ce soir…la lune sera pleine, dès qu’elle sera élevée dans le ciel. Les loups se sont réunis avant la transformation, ce soir, une cérémonie aux dieux lunaires doit être faite et les shamans semblent avoir décidé que je serais celle qui dirigerait cette cérémonie.

J’ai mal au crâne…très mal au crâne. Je ne sais pas trop ce qui s’est passé. Je me tenais avec mon père, le soleil était encore haut et puis, plus rien. Il y a…quelque chose autours de mon cou. Je n’aime pas cette sensation. Ça sent le métal…c’est…
Je me redresse vivement prise de panique, autours de mon cou un énorme collier de métal rattaché à une chaîne. L’esprit s’emballe en même temps que le cœur, le corps se redresse, recule sur le sol, cherche à arracher ce qui se trouve autours de son cou…il suffit…suffit que je me transforme en louve.
Les chaînes tomberont, au moins celles aux poignets, oui, elles tomberont.

-Du calme femelle alpha. Du calme.
Je redresse mon visage, le corps furieux, incapable de devenir ce qu’il est. Je sens la rage incapable de s’exprimer, la fureur incapable de se réveiller. Je sens la colère incapable d’éclater.

J’ai mal au crâne…très mal au crâne. Je fixe le shaman face à moi, il est entouré des autres de la tribu, je tire sur mes chaines, un poids mort de l’autre côté. Je…je suis attachée à quelqu’un.

-Femelle alpha, ce soir, le rituel pour Séléné montrera que vous êtes bien celle qui tuera le mâle alpha, son propre père et qui se libèrera de ces chaînes. Séléné ce soir jugera de votre capacité, elle nous montrera si vous…
-Père…où est mon père ?
-Il va observer depuis la haute montagne ce dont vous êtes capable femelle Alpha.

Je tente de me débattre, mais c’est inutile. Les shamans s’éloignent, me laissant assise dans un cercle de pierre là où frappera le premier rayon de la lune. Le rituel de Séléné, s’appelle le rituel d’initiation aussi. Il s’agit de la capacité d’un loup à détenir un escadron d’attaque. Mais c’est un rituel barbare. Le loup doit prouver sa valeur sans sa….

Ils m’ont donné de la potion tue-loup. Non…non ! NON pas ça. Je ne veux pas avoir de cette potion. Je suis une louve, pas une humaine, je vais les tuer. Tous. Les yeux révulsés d’une panique, j’entends un gémissement.
Tournant mon visage, j’aperçois.

-Votre père…l’a transformé. Le petit garçon…Ils ont sentis ce qu’il vous avait pris…quand vous aviez quinze ans. Le jeune garçon…Ils l’ont enfermé, conditionné…mon bébé. Le jeune homme…Et il l’a mordu…ce soir… L’homme désormais.

La mère d’Ambrosius se tient là, à l’orée du cercle. Elle tient ma baguette dans sa main et sans regarder, la jette dans le cercle.
Ce soir…ce soir quoi ? Non ! C’est sa transformation. Redressant vivement mon visage vers la colline je vois mon père. De la potion tue-loup, le combat contre mon seul ami, enfoiré et me faire utiliser ma baguette…. Je te tuerais, je te tuerais ou je te laisserais crever. Crever de la rage lunaire. Tu seras déchéance, je prendrais ta place en peu de geste. Ta fin est une question de temps.

Je suis observée par la meute, par les loups, par les miens. Dans la forêt bientôt obscurcie, je vais me retrouver à me battre contre mon meilleur ami lui-même. Et si je ne le tue pas, je devrais le dominer. La nuit se couche lentement et les ombres envahissent la vallée, lentement, j’essaye de réveiller Ambrosius, de lui parler, de faire en sorte qu’il soit conscient.
J’ai cru qu’il ne voulait plus me voir depuis la nuit de la boite de nuit, je n’avais plus de nouvelle, plus de mot, quelques lettres par ci par là et je croyais, avec force, avec sincérité, qu’il était perdu, mon ami. D’une certaine manière, cela a été le cas.

Désemparée, j’entends le hurlement des loups, je sens les chaînes se mettre à s’agiter et ouvrant les paupières…la lune est désormais levée, haute et mon regard se tourne doucement vers le corps de mon ami. Son être tremble dans tous les sens, s’agite, un hurlement s’expulse de ses lèvres alors que ses paupières s’agrandissent.
Mon être se tient prêt, mais le corps qui se contorsionne, les os qui craquent, les chaînes sont tirées et me voilà durant un instant malmenée. La potion tue loup me bloque toute transformation et cette simple idée suffit à me tenir droite. Je suis une louve, même sous cette forme abjecte.
Ambrosius souffre, hurle, se contorsionne dans tous les sens et le voilà bientôt devenus un loup noir, un loup furieux, plein de rage, incapable de raisonner ou de penser, comme pour toutes premières transformations d’un sorcier qui n’est pas né Loup.

Son cou est toujours enchainé, face à moi, un loup de ma taille, sur quatre pattes, à l’œil hurlant et fauve, incapable de raison, comme d’humanité. Il grogne vers moi, le raisonner serait stupide, un loup ne se raisonne pas. Il se combat. Je n’utiliserais pas ma baguette, plutôt crever.
Bien que toujours humaine, je me tiens comme lui, le corps penché en avant, prête à bondir, tournant lentement autours de lui, il va m’égorger et je n’ai pas sa puissance pour le contenir, pourtant, je suis une louve, ma mort ou ma vie. Ma domination ou la sienne. Ma domination….

Il se jette vers moi et je roule sur le côté, tirant fermement sur la chaîne qui le fait tomber dans son saut lourdement sur le sol. Il grogne, souffre et se jette à nouveau sur moi, me blesse le bras de ses griffes, plonge sur mon dos et ses crocs s’abattent sur mon épaule.
La déchirure me fait pousser un cri violent qui s’échappe de mes lèvres droit vers la lune. Je serre cependant les dents, il…n’aura rien…il ne me dominera pas un seul instant. Jamais aucun mâle n’a eu ce droit, ni ce privilège. Mais ses crocs me maintiennent sur le sol et la chaleur de mon propre sang se répand sur ma peau. Habitée par ma rage, qui enfle, contre mon père, contre cette bataille, contre cette potion tue loup, je sens mon coude s’enfoncer violemment dans son ventre alors que je me redresse et le fait tomber. La douleur le fait couiner et sans lui laisser le temps de réagir, je passe les chaines autours de son cou, mes jambes autours de son corps et je tends, je tends pour le maintenir, quitte à l’étrangler.

Le loup se rebiffe, se cambre, essaye de me mordre, mais je tiens la chaine serrée autours de son cou, mes jambes autours de son corps et mes dents sans ménagement se saisissent de son oreille et mordent ! Violemment, sans le lâcher, hurlant silencieusement la douleur de mon épaule et le loup se débat, sa rage l’y contraint, mais il perd lentement conscience, il abdique, se couchant vers le sol, le loup est maîtrisé.
Je relâche l’emprise sur les chaines, je tombe lentement sur le sol. La cérémonie est terminée…me voici officiellement dans la meute avec un escadron d’action en création. Et dire que je devrais faire ça pour tous les loups qui voudront y rentrer, pas forcément sous forme humaine… mais quand même.
Un escadron ne se détache pas de la meute, ils sont cependant envoyés pour des missions silencieuse…c’est…compliquée.

Quelques parts part en Europe, j’ai vingt vingt cinq ans

Le petit garçon, le jeune garçon, le jeune home, l’homme…non, le loup se tient face à moi, une fille à son bras. Je le fixe avec une colère sourde, que cette blonde disparaisse rapidement de ma vue. Je ne le comprends pas. Il fait le beau, il fait le grand, il n’assume rien de sa condition de loup. Il réprime toute la rage animale, toute la puissance bestiale et j’ai eu beau lui apprendre à être un loup, à comprendre sa condition, il n’accepte rien.
Notre relation a évolué. Je suis…attirée par le loup noir. Il y a quelque chose, en moi, qui veux lui reconnaître le pouvoir de la domination sur mon être. J’ai…accepté que ce soit lui. Et lui…lui veut se raccrocher à l’idée qu’il est mon frère, refuse de céder aux instincts du loup. Cela me rend folle. Il en veut céder à rien.

La dispute qui nous anime devant cette fille est terrible. C’est une petite sorcière, mignonne, mais elle empiète sur un territoire que je considère miens. Ambrosius est à moi. Personne d’autre et même si je ne lui dis pas clairement, par pudeur, parce qu’au fond, c’est un amour possessif. Mais je ne veux pas le reconnaître, et lui, je ne sais pas.
La dispute s’envenime, la fille s’en va, les hurlements s’élèvent dans le ciel et il devient blessant. Un mot, un seul, il me heurte, me brise l’âme et je reste sans voix face à l’audace du loup désormais. Ce n’était pas vraiment au loup de toutes manières que je m’en prenais, c’est à lui et lui, aussi, voulait s’en prendre à moi.
Il réalise ce qu’il dit, un geste, il essaye de me rattraper, de s’excuser, je m’éloigne de lui, je retire ma main, je retiens mes larmes. Il m’a blessé, il le voit, il le sait. L’on a beau avoir une hiérarchie particulière désormais l’un pour l’autre, nous savons, très bien, tous les deux, que nous sommes des amis, proches, que…

Devenue une louve, je m’en vais. Je me sens blessée, comme jamais, déçue. Je pensais avoir un seul véritable ami dans la meute, même si je sais qu’il m’en veut, pour sa transformation. Mais…je lui ai tout appris, j’ai pris ce poids sur moi, pas simplement…
Je m’arrête subitement de courir, la lune est bienveillante ce soir, la forêt est calme, nous sommes loin de la meute. Il se tient devant moi, en loup, un coup de croc lui ait lancé, il fait de même. Mon agressivité se transforme en jeu sans que je ne m’en rende compte, les corps animaux se redressent, les pattes s’opposent avec jeu, l’on se tourne autours, il passe sa patte sur moi, nous fait tomber, sa langue glisse sur mon pelage, je me laisse faire, silencieusement, alors qu’il lèche l’endroit de l’ancienne blessure qu’il m’a faite, il y a quelques années.
Je redresse le museau vers lui, grognant gentiment, il me calme, cependant, abaissant sa mâchoire sur mon cou, pour le mordre. Un grognement plaintif, je me retire de son étreinte, m’éloigne de quelques enjambées, sent le sol, tourne sur moi-même et me laisse retomber lourdement. Il se rapproche, humblement, timidement, il laisse sa truffe venir me sentir mais je me retourne vivement et grogne pour le repousser.

Il se recule et disparait.
Je suis vexée, blessée, il m’a fait mal, et j’en ai assez. Caprice ou autre, qu’importe. Posant ma tête entre mes pattes, je reste silencieuse, observant tout et rien, avant de me redresser et de le voir revenir, un petit gibier entre les lèvres qu’il dépose devant moi. Assis, il attend, du sang sur les babines et ma truffe vient doucement sentir le lapin, le regarder, puis, me redressant, je viens lécher le sang sur sa gueule…les langues animales s’amusent un instant entre elles avant de s’abaisser ensemble vers la carcasse du rongeur et de le dévorer ensemble.

Pardonné, il l’est. Un loup se fait pardonner ainsi, mais pas uniquement. Si quelqu’un était en train de nous observer, il aurait compris, que le loup et la louve sont…liés. Ce que lui et moi….on ne comprends pas.
Liés…le loup et la louve. Complices, tendres, il lèche mon visage en sang, je fais de même pour lui, la parade amoureuse éveil des sens bestiaux et son corps s’appuie sur le mien, sur mon dos. Les souffles animaux s’unissent dans cette nuit calme, loin de la meute. La danse érotique sous la lune à moitié pleine, des loups, la danse primaire et bestiale des loups ensembles. Corps contre corps, jusqu’à l’épuisement, l’endormissement, l’un contre l’autre et la nudité humaine au petit matin, sous le lever du soleil….

Le rejet de cette partie de lui-même, le non, prononçant haut et fort, le non, ce n’était que le loup, le rejet entier de ce qu’il est devenu. L’acceptation silencieuse, la colère animale….la fuite de l’ami.

V Vos possessions

La baguette magique : Ma baguette est en bois de je ne sais plus quel abre, striée d’argent dont le manche est recouvert de peau de loup. L’intérieur ? De l’argent bien évidement.
La richesse : Je suis une louve, la richesse de mon père est la mienne. Nous possédons un grand club, des studios par ci par là dans le monde. L’argent que je gagne cependant c’est celui grâce à mes photographies, je suis devenue bonne là-dedans, et cela me rapporte pas mal.
Esclaves : Je n’ai pas d’esclave
La monture (facultatif) : Ni de monture
La demeure : Je vis là où je veux vivre
Les habitudes vestimentaires : Les goûts varient d’une humeur à l’autre, me ressemblent, surprennent, je n’en ai définis aucun comme le mien propre.
Armes (facultatif) : Mes crocs et mes griffes doivent suffire.

VI Test RP


Voici donc où nous en sommes aujourd’hui. Femelle Alpha de la meute, mon père est sur le déclin de son existence et comme promis, ce sera dans la honte de sa douleur qu’il périra. J’aime mon père, mais j’ai une promesse à me tenir. Le hurlement à la lune annonce notre attaque de ce soir. Parmi nous quelques sorciers, quelques vampires et des milliers et des milliers de loups. J’attaquerais en premier, Ambrosius est mon second, il lutte toujours contre sa nature de loup et son refus à l’accepter, son obstination à garder une sorte de vie de sorcier puéril me pousse à le lancer plus profondément dans ses retranchements.
Il joue au loup, mais il n’en est pas vraiment un, encore attaché à ces considérations humaines, il ne veut rien assumer de ses désirs et possessions nocturnes sur moi, et de ce fait, le loup reste à sa place. Second. La grande meute pourtant commence à comprendre, à deviner ce que lui, ne devine pas. Il apprendra, de grès ou de force. Car un jour les loups vont le défier…

Je regarde ma famille, mes loups et je déplore la disparition de Martius, l’un de mes puissants guerriers, un frère de lait, qu’un Vincci à oser tuer, non, pas n’importe quel Vicci, une petite blonde aux sourires trop faciles. Je ne la tuerais pas, je l’amputerais comme elle nous a amputé d’un de nos membres il y a quelques lunes de cela.
Je regarde ma famille, mes loups et je sais que ce soir nous serons lancés contre les remparts de ces imbéciles. Nous massacrerons leurs lignes, encore et encore. Jamais régulièrement, toujours sans qu’ils le sachent. Nous détruirons, nous prendrons, nous tuerons. Et je ne serais que plus forte pour eux, les miens, qui aiment celle que je suis, qui suivent, celle que je suis.
Plus un mâle n’ose désormais m’affronter et s’il y en a encore, il meurt. Mais mes chaînes sont encore présentes et mon père est encore fort. Ambrosius reste un imbécile.

Voilà donc où nous en sommes aujourd’hui. Femelle Alpha de la meute, j’ai l’apparence humaine savoureuse, le cœur troublé, la force ancrée. Ce soir, encore, nous briserons des barrières. Voilà tout ce que vous devez savoir. Trop vous en raconter, ce ne serait pas, vous laisser, ce goût de trop peu….

A suivre…

VII Votre identité de joueur/joueuse

Votre pseudo : Ange.
Votre âge : 26.
Vos autre forums (facultatif) : pareil que Magnus
Comment avez vous connu Clan-Kravt : DC
Des remarques, suggestions :Ahou.

Fay Woodsborrow
Fay Woodsborrow


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Message par Fay Woodsborrow Jeu 14 Fév - 11:38


Fay Woodsborrow Ss10
Nous aimons nous repaître de ceux qui voudraient nous soumettre.

La grande meute Woodsborrow
La légende racontée aux petits louveteaux avant de se coucher


« Il était une fois, selon la grande légende, la mère lune qui laissa aller ses rayons sur la terre. La mère lune était ronde et pleine, elle aimait ses enfants, les esprits argentés qui couraient le monde et la terre. L’un d’eux, moins prudent que ses frères s’engouffra si profondément dans la forêt qu’il se perdit, jusqu’à être pris dans le piège d’un chasseur.
La mère lune pleura en appelant son enfant, esprit lupin et elle envoya ses sujets à sa recherche. Les dieux qui entouraient la cour de la mère lune, la consolèrent, mais l’on ne retrouva pas le fils perdu et ses autres enfants ne purent la consoler. L’esprit lupin s’était perdu, il pleurait et hurlait, appelant sa mère lune qui ne l’entendait pas, enfermé dans une cage de sorcier…
Ce fut une jeune fille, à peine sortie de l’âge des rêves d’adolescence, qui, accompagnant son père au relevé des pièges, trouva la bête merveilleuse au corps argenté en train de mourir presque dans sa cage. Émue face à la beauté de l’animal, elle ouvrit la cage avant que la nuit ne se finisse et l’esprit tomba amoureux de l’enfante…

L’esprit repartit avant la levée du jour, promettant de veiller sur l’enfante et de revenir chaque fois que la lune serait pleine. Mais durant les jours où il ne pouvait pas la voir, il pleurait, si fort, si profondément, que sa mère lune ne savait comment le consoler. Et sur la terre, la fille n’était que honte car son ventre était plein, déshonneur sur sa famille et sur elle-même. Son père la rouait de coups mais l’enfant accroché ne voulait partir, aucune potion de déshonneur ne parvint à décrocher l’enfant et la jeune fille refusait d’avouer qui était le fautif, protégeant son esprit.
Le fils quitta la mère lune pour revoir celle qu’il aimait et il fut si douloureusement blessé de la voir souffrir, qu’il pria sa mère de faire quelque chose. L’amour de l’esprit pour l’humaine était si puissant et si profond, que la mère lune en eut le cœur atteint et de ses souffrances les ombres d’Avalon se nourrirent. Alors, d’obscurs pouvoirs se mirent en place, des pouvoirs oubliés, datant de si loin que seuls les premiers démons pourraient se souvenir. Il fut promis aux ombres de la brume quelque chose et personne ne se souvient…personne ne se souvient de cela.

La suite…n’est point certaine, l’on dit que l’esprit et la jeune fille devinrent des loups géants et qu’il naquit de leur union des petits d’hommes…des petits d’hommes abritant l’esprit lupin et ainsi naquirent les loups garous, ainsi naquit le premier Woodsborrow, fils de Yélisa Woodsborrow, fille du grand chasseur Adolphas Woodsborrow. »

Cette légende comme toutes les légendes se transmettent de bouche de loups à oreille de loups, les conteurs la racontent aux jeunes louveteaux pour les endormir. Et ceux qui ne sont point certains de la vérité de tout cela, au fond de la forêt noire se trouve une vieille maison en ruine, qui ne conserve qu’une vieille cheminée en ruine frappée d’un W…..





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La grande meute Woodsborrow
Sur son territoire : l'Allemagne


Les alphas ont toujours été des descendants Woodsborrow. Si parfois la grande meute fut dirigée par d’autres loups, l’héritier Woodsborrow reprit toujours le contrôle de cette grande meute qu’ils ont toujours considéré comme la leur. Fay est la première alpha femelle de la meute, héritière non clairement dominée par un mâle qui assurerait la tenue de la meute.
L'alpha en place est invaincu, respecté par sa meute, tout comme sa fille, Fay, qui est reconnue comme la "princesse" de la meute. Bon nombre de loups donneraient leur vie pour elle et pour son père.
Les loups la considèrent cependant comme la force même de la lune et donc leur protectrice. Sa naissance en tant que louve appuie cette légende analysée par les Shamans comme le signe des dieux lunaires de la force de la louve.
Le chef de la grande meute et donc Fay possèdent un club privé en Allemagne le Séléné (voir fiche).
La grande meute occupe les terrains conquis en Europe. Lazar et Fay dirigent les combats éventuels qui peuvent se passer sur les frontières françaises.

Cette meute occupe le territoire de l'Allemagne. Elle représente aux yeux des autres meutes la plus grande mais la plus forte aussi dont les Alphas sont respectés surtout la femelle Fay qui est une légende (un espoir plutôt) pour bien des loups.

Notions lupines de la meute:
Un loup de naissance, un sorcier qui devient un loup, ce n’est pas la même chose. Cependant nous devons expliquer quelques petites choses.
Une louve devient prenable, entendons là, soumise à un loup, lorsque pour la première fois, elle aura ses règles. Aux alentours de 9/12 ans donc. Cela ne signifiera cependant pas qu’elle sera totalement apte à être prête pour la reproduction. Le loup qui possédera la virginité d’une louve deviendra son dominant. Peu intéressant en vérité sauf pour une louve de haut rang.
La place d’une louve n’est pas enviable dans la meute, je vous le rappelle.
Une louve aura ses premières chaleurs à l’âge de 15 ans ou plus. Elle deviendra alors clairement intéressante pour la meute car les chaleurs entraînent les rituels de bagarres violentes et exaltantes pour les mâles qui se battront alors pour avoir la louve. Louve qui peut se rajouter à une collection.
Ainsi vous le comprendrez, un mâle ne peut avoir aucune louve et un autre plusieurs. C’est le jeu brutal de la meute.

Les loups éternels (ce qui ont été moldus avant) ne sont pas possédés par les loups. Sauf folies dues aux chaleurs. Ainsi si une louve éternelle alias une louve géante qui fut une moldue ne donnera naissance qu’à des loups éternels aussi. Cela sera de même si une louve-garou sorcière se fait prendre par un loup éternel. Elle ne donnera naissance qu’à un loup éternel.

*Lieux de rassemblement*:

    - La falaise aux corbeaux, un grand mont rocheux habité par les corbeaux. La meute s'y rassemble. La roche de la falaise est percée naturellement de cavité, formant des grottes où vivent certains loups, comme le père de Fay, le mâle alpha.

    - Le Séléné, boîte de nuit lupine appartenant aux Woodsborrow (voir lieux)

    liste non exhaustive....voir description détaillée en bas







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La grande meute Woodsborrow
Magies et rituels


Les Dieux lunaires peuvent être innombrables. Chaque Shaman a plus d’affinité avec un Dieu mais tous travaillent ensemble pour établir les rites. L’on reconnait :
    -Sin de Babylone, maître du temps, Chaque soir, Sin monte sur sa barque, qui apparaît dans le Ciel sous la forme d'un croissant Lunaire. Navigateur nocturne, Sin projette sa clarté sur l'obscurité des nuits, faisant ainsi obstacle aux forces ténébreuses de l'ombre.
    Le(s) Shaman(s) priant Sin combattent la magie noire et veillent à ce que la forêt ne soit pas envahit par la présence de celle-ci.

    -Thot, de l’Egypte Il est le « seigneur des paroles divines », le « scribe des dieux », comptant avec minutie les mois et les années qui s'écoulent. Calculateur émérite, il symbolise la Lune dont le parcours dans le ciel révèle d'une connaissance très précise des chiffres. Thot dressa alors le calendrier, divisa le temps, et présida à l'écriture de l'Histoire.
    Les(s) Shamans(s) priant Thot calculent les stratégies, prévoient celles-ci.

    -Khonsou qui est la source de la rage et de l’instinct des loups. Le dieu est l'aspect primaire de la meute. Les shamans le prient pour les jeunes loups qui se sont fait récemment mordre.

    -Chandra de l’Inde, signe de la mort qui viendra frapper, lorsqu’il éclipsera la lune, signe de mort et de désastre pour ceux qui blasphèment les loups et les rendent asservis. Le symbole de la vie, de la mort, et des renaissances. Son éclipse, attribuée au démon Râhou, était également considérée comme annonciatrice de grands désastres.
    Les shamans l'invoquent avant chaque bataille pour protéger la meute des mauvais hommes qui veulent soumettre les loups.

    -Séléné de Grèce la protectrice, qui donne oui ou non sa place au loup durant la nuit. Plus puissante des dieux priés, elle protège les loups de ses rayons. Les shamans qui la prie l'invoque souvent pour les batailles comme un guide ou une protectrice. Les shamans sont souvent des guérisseurs quand il prie cette déesse.

    - Mama Quilla, l’Inca, qui veille sur les femelles dans ces nuits où elles ne peuvent combattre, pleines. Elle est la protectrices des femelles enceintes. Les shamans de cette déesse accouchent et soignent les femmes enceintes.

    -La mère Lune: la lune elle même, notion spéciale quand un shaman n'a pas d'affinité avec les dieux moldus ou autre. La mère lune est la mère des loups, elle veille sur eux et peut les protéger en tous temps, le shaman affilié à la mère est puissant, mais surtout aussi affiliés à sa face caché...
    Ambrosius est le seul shaman de la mère lune.


Liste non exhaustive

Nombreux sont les rituels des loups. Nous en connaissons quelques-un.
    - La domination : Une fois par mois, lorsque la lune est à moitié pleine, les loups font des tournois de dominants pour s’assurer une place, pour séduire une femelle. C’est un rituel fait au nom de Khonsou et de Séléné.

    - Le rituel de Séléné ou l’initiation : Il s’agit de la capacité d’un loup à détenir un escadron d’attaque. Mais c’est un rituel barbare. Le loup doit prouver sa valeur sans sa forme de loup (il prendra une potion tue loup) et combattra un loup qui ne maîtrise pas sa bête encore, qui ne s’est pas accordée avec elle.

    -L’éveil : Lorsqu’un loup se fait mordre et qu’il s’éveille à la bête.

    Le rituel aura lieu dans un cercle de pierre, une chaîne au cou et aux poignets rattachée au loup qui se transforme.
    [à compléter selon les futurs loups et leurs idées







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Nous aimons nous repaître de ceux qui voudraient nous soumettre.


La grande meute Woodsborrow
Hiérarchie


La meute est hiérarchisée et s’organise selon des positions précises. A savoir que la meute obéit à Fay et son père, reconnait la place dominante d’Ambrosius, le second de l’alpha femelle et que la place de futur dominant du loup est encore disputé, mais de moins en moins. En gros, seul Fay et Ambrosius ne réalisent pas, qu’ils sont faits pour dominer la meute, alors que tout le monde le sait déjà.

Sommet de la hiéarchie : les alphas

Fay Woodsborrow Hi13L’alpha de la grande meute, le père de Fay se nomme Lazar Woodsborrow, grand homme à la mâchoire carrée et énorme loup gris, plus fort et plus puissant que beaucoup de loups, il dirige la meute d’une main de maître, sans pitié et sans scrupule. Il a pourtant une certaine sagesse.
Entouré de bon nombre de femelle, l’alpha est invaincu, il se sait pourtant sur le déclin de sa force. Il prône le loup parfait, ne jurant que peu par les éveillés. Il aime sa fille à sa façon et n’a aucune limite de puissance. Bon nombres d’alpha d’autres meutes se sont cassés les dents sur le loup gigantesques et gris qui est pour l’instant l’une des bêtes les plus féroces.
[PNJ : je vous remercierais de ne pas jouer ce pnj que je tiens à garder sous mon contrôle. ]

La femelle alpha de cette grande meute est donc Fay, sa propre fille, qui a gagné sa place par le mérite et non pas par le fait de sa naissance. Bon nombre de dominants se sont cassés les dents sur le désir de prendre sa place, mais la femelle si elle n’est pas forte, n'en demeure pas moins rusée et combative. Dotée d’une agilité certaine et d’une ruse exacerbée, la femelle est crainte, respectée et vue la plupart du temps comme une figure de proue.
Rares sont ceux qui osent lui manquer de respect. Elle veille sur ses sujets avec bienveillance, mais reste intransigeantes. Tel le roi Salomon, elle est prête à couper un enfant en deux pour satisfaire la plainte si elle ne sait pas qui dit la vérité.
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Les shamans : Protecteurs et sorciers

Les shamans viennent à la suite de cette hiérarchie. Ils s’occupent de la magie lunaire en compagnie des sorciers qui gonflent les rangs de la meute. Ce sont des êtres sages, des représentants des différents dieux lunaires. (cf : Dieux)(liste non exhaustive, d’autres shamans peuvent se rajouter, sont mis les persos joués après ce sont les PNJ, qui peuvent être incarnés)

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Ambrosius Ivanov, futur alpha, shaman sorcier de la meute. Affilié à la mère lune, le shaman est le loup le plus agressif de la meute après les alphas. Il ne laisse aucun prétendant s’approcher de la femelle et on le sait possessif.
Velkan L. Blaszczyk, shaman, demi frère de Fay, Velkan prie ldikó la Magyare, la déesse de la sagesse lupine, dont les éclipses influence Velkan plus que la pleine lune. Calme et observateur, le shaman est un homme sage.
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Les dominants : supérieurs

Les dominants sont les « princes » si l’on peut appeler cela ainsi de la meute. Venant à la suite des alphas et des shamans, les dominants sont des sous-chefs qui se battent continuellement pour garder leurs places. Places enviées. Rares sont les femelles dans cette partie de la meute.
Les dominants doivent surveiller certains morceaux de territoires frontaliers qui pourraient être menacés par des attaques. Ils les surveillent non pas seuls mais avec des subalternes.

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Sergeï "Titus" Rykov, considéré comme le garde du corps de Lazar, fidèle mais pas fanatique à l'alpha, le loup ne paye pas de mine en humain, mais sous sa forme lupine est très imposant et fort. Apprécié par les loups pour son calme et son zen, Sergeï n'en reste pas moins qu'un dominant en retrait, qui ne cherche pas à avoir de l'impact ou de la puissance PV A PRENDRE
Deidre Mayfair, la bourreau. Torturée et malmenée, la louve a de lourde séquelle psychologique qui la rende furieuse, dominante, impitoyable. Beaucoup se sont risqués, beaucoup y ont laissé leurs vies, malheureusement. PV A PRENDRE.
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Les loups garous: soldat

Les loups garous de la meute ou les soldats. Ils sont membres du gros de la meute et peuvent chercher à prendre la place des dominants. Les loups éternels, ou les loups géants anciennement moldus. Ils font partis de la grande meute, mais ne peuvent prétendre à être des dominants, sauf exceptions accordées par la femelle alpha qui pourrait être impressionnée, mais ne peuvent en aucun cas être des shamans.

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Louison de Montarsis, soldat de la meute, faisant partie de l'escadron de Fay Woodsborrow, elle est dominé par Fay et lui appartient. Les loups ne se risquent plus a essayer de la dominer et surtout pas à provoquer ainsi l'alpha. Elle est apte à s'infiltrer chez les humains sans aucun souci. PV A PRENDRE
Frédéric Woodsborrow, soldat peureux et demi frère de Fay et Velkian, il se pense le centre du monde et ne voit rien avec son narcissisme exacerbé. Un jour il tombera de haut à jouer au supérieur. PV A PRENDRE.
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Fay Woodsborrow Hi33
Anton Edwards, scientificité plus que soldat, il oeuvre en aval pour préparer quelques objets explosif qui permettront la victoire, même si cela n'est pas aux gouts de la meute. Rempli d'humour potache et noir, le génie est un loup très intelligent à défaut d'être dominant. PV A PRENDRE

Les soumis: obéissants

Les soumis sont les loups et louves qui appartiennent officiellement à un loup ou parfois, une louve. Les loups et louves de cette catégorie ne sont pas faits pour être des dominants ou ont été vaincus. L’on peut se battre pour leurs propriétés.

Les femelles: en dessous de tout

Les Femelles : Cas spéciale que sont les femelles. Lorsqu’elles sont pleines, ou lorsqu’elles doivent allaiter des petits, elles ne partent pas au combat. Rarement elles sont des dominantes, souvent des soumises.








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Nous aimons nous repaître de ceux qui voudraient nous soumettre.

La grande meute Woodsborrow
Les relations


La grande meute Woodsborrow considérée comme la plus grande et la plus imposante par ses semblables n'en reste pas moins la première sur le front puisque ses frontières allemandes bordent la France. Les meutes alentours ne s'aventurent pas sur son territoire et évitent tout bonnement de le faire sans la permission des alphas.
Si l'on défie toujours les alphas, les échecs retentissants ont tôt eut fait de décourager et de raisonner les autres loups de la force de la meute.
Centre nerveux lors des batailles contre la France, l'union fait la force et la grande meute d'Allemagne préfère largement l'union que le combat avec les loups. Sage, la meute se refuse à combattre les siens ce qui les mettrait à mal contre les ennemis.

Alliée aux vampires depuis quelques années maintenant, la grande meute est considérée, à juste titre, comme la meute la mieux organisée avec quelques rares autres et la plus grosse aux niveaux de ses membres.

[Pour toutes relations avec la meute, merci de me MP pour que nous nous organisions, nous verrons ensembles ce qu'il en est]




Louison de Montarsis


"Elle me confiera sa vie et je la protègerais"
I Caractéristiques du personnage


Age : 27 ans
Race : Loup garous
Statut de sang : Purs
Métier ou groupe d'appartenance : Propriétaire d'un vaste domaine viticole
Don : Louve, dans la meute, elle est un soldat, plus précisément de l'escadron de Fay
Avatar : Bloody Cherry, non négociable

II Histoire, liens, intérêt


Votre caractère :Femme sulfureuse et sûre d'elle, Louison ne vit que pour la meute et la femelle alpha. Elle fait partie de ces loups fanatiques qui donneraient leur vie pour le chef de la meute. D'un naturel de sang chaud, et potentiellement caractériel, Lou' est une femme mordante au cynisme sulfureux et blessant.
Elle aime à se moquer des loups jeunes encore en souffrance.
D'un naturel mordant, elle se débat violemment contre la dominance masculine mais aime surtout le combat avant la possession. Les "humains", les non loups ne sont guère sa tasse de thé et elle ne supporte pas ceux-ci. Elle s'oblige cependant à faire bonne figure devant la bonne société et donne fort bien le change pour passer pour une humaine normale. Personne ne saurait la définir louve, si elle ne veut pas qu'on le voit.
Si elle a accepté le loup, elle demeure pourtant encore capable de séparer le loup de l'humain, pour le besoin de la meute.
Possession et signes distinctifs : Possède un fameux domaine viticole. Un grand manoir. Etc.
Histoire :
*Fille de noblesse française, son père était un loup. Sa mère fut tué à sa naissance car elle voulut s'échapper de la dominante de son époux, violent loup garou, qui préféra la tuer que de voir ses louveteaux éloignés de lui.
*Elle naquit donc en même temps qu'un petit garçon qui sera toujours trop malade pour vivre correctement et à qui l'on donnera toujours de la potion tue loup pour éviter la souffrance qui lui sera de trop fatal.
*Son père se fit tuer lors de ses dix ans, pour sauver Fay, qui elle même tentait de sauver le petit frère d'un Vicci.
*Devient la soumise de Fay lorsqu'elle a dix sept ans, à la base Fay la protège d'un autre mâle qui veut la dominer.

Liens:
-Fay Woodsborrow: Sa femelle alpha et sa dominante. Même s'il est de coutume chez les loups d'être dominé par un mâle, Fay a sous sa protection la femelle. Possessive, la femelle alpha laisse totale liberté à sa femelle tant que celle-ci ne la déshonore pas. Elles ont conclut une sorte d'entente fraternelle, si Louison tombe un jour sous le désir d'un loup, Fay cèdera la louve au mâle. En attendant, elle se garde Louison, qui, avouons le, ne s'en plaint pas.
Elle subit tout le caractère de Fay, plus encore lorsque celle ci en veut à Ambrosius. Louison est aussi la confidente de la louve, peut être même est-elle la seule à savoir les souffrances de Fay sur beaucoup de point ce qui la pousse à vouloir protéger son alpha de ses bras et de ses douceurs, même si Fay n'est que violence avec elle la plupart du temps...plus encore depuis l'histoire Ambrosius
-Ambrosius Ivanov: Moqueries sur moqueries, elle lui lance pique sur pique.
Elle et lui sont les médiateurs entre la meute et le monde sorcier pour Fay. Car Louison est tout à fait apte à ne pas être louve en public, comme Ambrosius. Mais elle, ne rejette aucunement cette partie d'elle. Si elle le taquine, c'est qu'elle l'aime bien, et elle voudrait pouvoir faire quelque chose pour ce couple qu'elle considère comme ses dominants, mais sans le dire clairement. Elle observe et attends.
-Velkan L. Blaszczyk: Shaman de la meute, frère de Fay, elle le respecte.
-Titus : Elle se méfie de lui, les loups proches du père de Fay pourraient devenir son ennemis s'ils venaient à choisir l'alpha mâle contre l'alpha femelle
-Deidre Mayfair: folle furieuse en puissance et passablement barrée, Louison n'approuve pas du tout les méthodes de la blonde qui n'a, à ses yeux, aucune limite.
-Frédéric Woodsborrow: Branleur de première catégorie, Frédéric insupporte.
-Anton Edward: il l'amuse beaucoup et le trouve très drôle, elle aimerait parfois passer plus de temps avec lui mais Anton semble si fasciné par ses recherches plus que par elle.

CEPENDANT fait important: Fay et Ambrosius se partagent la louve d'une certaine façon, qui très lucide s'en rend compte. Ambrosius cherche bien souvent à la posséder car elle garde l'odeur de Fay en permanence, ce qui donne au loup l'illusoire sensation d'avoir Fay dans ses bras.
Et inversement, Ambrosius laisse son odeur sur le corps de Louison, ce pourquoi Fay laisse faire car elle possède la même illusion de son côté en possédant alors la louve.

Contacter Ambrosius Et Fay si besoin. Smile Nous serons ravis de vous éclaircir sur certains points

VI Idées d'évolution


Libre au joueur, Louison pourra peut être enfin trouver l'homme de sa vie ou autre, développé quelque chose avec Anton ou tout du moins essayer

Sergeï "Titus" Rykov


"Pouilleux? Peut être"
I Caractéristiques du personnage


Age : 40 ans
Race : Loup garou
Statut de sang : Mêlé de par sa mère
Métier ou groupe d'appartenance : Loup garou, videur au Séléné
Don : Loups garou
Avatar : Michael Seen (non négociable)


II Histoire, liens, intérêt


Votre caractère : Titus est affable, il semble généralement accueillant et, en humain, il sourit souvent
il joue sur son air un peu "miteux", passe partout,il n'est pas fanatique pour un sous et est très ouvert
en fait il semble dénué totalement de haine et de rage, comme si tout lui fut "pompé" lors de sa séquestration
par contre il tue en un clin d’œil et celui qui manque de respect à l’alpha peut y perdre la vie à la seconde même, il ne se mêle plus aux disputes entre Fay et Lazar, la dernière fois sa réaction sur Fay lui a valu une côte cassée. (Fay est plus rusée que lui à défaut d'avoir sa force)
Possession et signes distinctifs : libre
Histoire :

Sergeï "Titus" Rykov était un loup dominant dont la meute parcourait les vastes steppes de la toundra. Si humain il ne paye pas de mine, rarement avons-nous vu un loup aussi grand et terrifiant. Lorsque la guerre éclata contre les vampires, la meute de Titus fut la première touchée et anéantie. Titus, seul suivant, devint fou de rage et s'abandonna totalement au loup. Ne se changeant presque plus en humain, il se mit à traquer les vampires et à les exterminer un à un...
Son manège ne passa pas inaperçu et, alors que sa traque le mena aux frontières allemandes, il fut capturé et torturé par une bande de vampire.
C'est Lazar qui l'a retrouvé et, un peu avant a trêve, il débarqua avec sa meute et massacra les sangsues présentes.
Titus, à l'article de la mort, se traina devant l'alpha et, en le remerciant, lui offrit sa vie.
Lazar le ramena chez lui,le soigna et depuis ils ne se sont plus quitté. Si Titus n'a "aucun" grade dans la meute... il est considéré comme le garde du corps de l'alpha. Sa force lui permettrait de prendre la meute pour lui... en loup personne ne rivalise mais son existence entière est consacré à celui qui lui a redonné un sens à sa vie

Liens:
-Ambrosius: Titus a toujours été de ceux qui ont accueilli Ambrosius comme "animal de Fay", en gros il faisait partie des rares qui n'avaient aucun mépris pour lui, il appréciait le jeune garçon bien qu'il voyait les ennuis arriver. Après le tabassage, Ambro s'éloigna de lui (comme des autres) et lu voue une certaine rancœur... bien que Titus ne s'en offusque pas
-Fay Woodsborrow: comme dis plus haut, Fay le surpasse en rapidité et au niveau de la ruse, elle se bat pour être libre ce qui lui donne un certain avantage. Si quelques fois il a élevé la jeune louve, et qu'elle le considère parfois comme un oncle, il a remarqué que désormais, les choses changent et qu'elle a dut mal à affronter son regard. Il sait qu'elle viendra bientôt réclamer le trône de la meute et il sait que cela la fait souffrir que de devoir faire face à sa personne. Fay l'aime comme un oncle et il l'aime comme une nièce.
-Louison de Montarsis: Elle se méfie, mais cela ne le dérange pas. Peu de chose le dérange.
-Deidre Mayfair: Il arrive parfois à la calmer, mais la louve est trop vorace parfois à son goût. Il peut comprendre son traumatisme et il aimerait essayer de la calmer ou de la mesurer. C'est peut être pour cela qu'il ne réagit pas quand elle traite l'alpha de violeur
-Frédéric Woodsborrow: l'un des enfants de Lazar qu'il ne supporte pas. M'as-tu vu, poltron, narcissique, le gamin le prend trop de haut.
-Anton Edwards: il ne comprends pas toujours le scientifique, et a parfois du mal avec son humour.
-Velkan L. Blaszczyk: Un Shamman qu'il respecte.

VI Idées d'évolution

Tous savent que Fay, un jour, devra tuer son père et on ne sait pas où se positionnera Titus lors de la prise de pouvoir.
On murmure qu'à côté du combat "Fay Lazar" se jouera aussi celui d'ambro et titus...

Pour ce personnage nous demandons qu'il soit joué sans haine ni colère, Titus est un homme très zen.


Deidre Mayfair


"Plus jamais je ne serais une sorcière..."
I Caractéristiques du personnage



Age : 35 ans
Race : Loups Garou
Statut de sang : Sang pur
Métier ou groupe d'appartenance : Louve, bourreau
Don : Loup garou
Avatar: Daryl Hannah dans Kill Bill (négociable, elle doit être blonde et borgne)


II Histoire, liens, intérêt


Votre caractère : Toutes ses nuits seront hantées de ce supplice qu'ils lui ont fait endurer. Toutes ses pensées tourneront vers ce cachot, ces hommes, ces femmes, ces sorciers.
Deidre n'a plus de pitié, pour aucun être si ce n'est pour les loups, elle n'a aucun remord, aucune compassion et la louve a prit le contrôle sur celle qui un jour était une douce jeune femme, souriante et aimante, bienveillante...
Gardant de grave séquelle mentale, Deidre a peur des hommes et ne saurait se laisser approcher sauf par Sergeï qui la détacha de sa cave sous les ordre de Fay
Possession et signes distinctifs : Borgne
Histoire :
Deidre était autrefois une sorcière, de sang pur, bienveillante, souriante, jeune, jolie, une famille douce, un avenir tendre et prometteur et puis...
Il y a eu cette attaque lors de son séjour en France, un loup, une morsure, le mauvais soir, la transformation, la mort de sa sœur de sa gueule et il y a eu...la vérité.
Son père...ses frères...enfermée dans les sous sols du manoir de ses cousins, elle a été livré, torturé, violé, et tout ce qui pouvait lui être fait, pour, l'exorciser du loup a été fait. Et elle, à peine vingt ans, elle a été destitué de son humanité. Elle a été blessée, bafouée, maltraitée et sa rage grandissante n'a pas cessé de la consumer. La louve a été frappé, l'humaine aussi, jusqu'à ce que la meute la repaire, la sente et vienne la chercher...

Mordue par Fay en vérité, la louve ne s'est jamais remise à l'idée d'avoir laissé la jeune fille parmi les hommes et c'est lors d'une expédition suicidaire, presque un an après qu'elle est allée la chercher, après que les premières tentatives aient trop capotés.
Recueillie, soignée par la jeune fille, Deidre retrouve la douceur qu'on lui a prise, si tôt, si vite. Loin d'elle l'idée de haïr celle qui la transforma, c'est à sa propre famille qu'elle voua une rancune sans égale. Ceux qu'elle considérait comme les siens, lui avait fait...d'horribles choses.

Prenant sa place dans la meute, tout le monde se tut sur le sujet de Deidre qu'ils considéraient comme dérangée et considèrent toujours comme telle. Mais Sergeï s'occupa d'elle avec Fay et ils essayèrent de lui rendre sa raison. Mais Deidre devint la bourreau de la meute, capable de faire parler tous ceux qui devaient parler, reproduisant les tortures qu'on lui avait faite, en inventant d'autres.
Elle se bat inlassablement pour garder son poste de dominante et n'a pas peur d'aller vers toutes les limites....

Liens
-Fay Woodsborrow: elle la protège coûte que coûte, prête à tout, ne la désire pas, mais reconnait en elle son maître à apprendre. Elle craint de décevoir l'alpha mais Fay la rassure souvent.
-Sergeï Titus Rykov: il la calme, la mesure et elle se sait incapable de passer à plus d'horreur quand il insiste. Le seul qui puisse vraiment la contrôler, même si elle n'aime pas le fait que Sergeï protège le père de Fay, un sale violeur comme elle le dit.
-Ambrosius Ivanov: Toujours méfiante envers les hommes, elle l'est avec Ambrosius, par peur en vérité, elle n'a toujours pas réussi à affronter réellement les hommes. Elle est agressive avec lui mais c'est plus fort qu'elle.
-Frédéric Woodsborrow: il a déjà essayé de la coincer, mais elle lui a presque coupé la queue pour avoir oser. Elle se méfie de lui et le tuerait volontiers.
-Louison de Montarsis: une louve bien différente d'elle. Elle essaye de la comprendre, mais c'est difficile.
-Anton Edwards: Elle se laisse approcher, il est gentil, mais elle se méfie.
Velkan L. Blaszczyk: Elle ne s'approche pas de lui non plus, il lui fait peur.

VI Idées d'évolution


Elle doit apprendre peut être à se laisser approcher par les hommes autre que Sergeï qu'elle voit comme un protecteur puisque c'est lui qui l'a détaché sous les ordres de Fay de cette horrible cave. Mais elle est détruite psychologiquement, à vous d'évoluer comme il vous plait avec ce personnage pour le moins...détruit.

Frédéric Woodsborrow


"Un jour, c'est moi qui aurait la meute, mais pas demain...demain j'ai véto..."
I Caractéristiques du personnage


Age : 24 ans
Race : Loup garou
Statut de sang : Purs
Métier ou groupe d'appartenance : Loup garou, branleur professionnel
Don : Loups garous
Avatar : Bradley Soileau (négociable, il doit rester très tatoué)

II Histoire, liens, intérêt


Votre caractère : Peureux, pétochard, poltron, égoïste, égotiste, narcissique, Frédéric est un petit con en puissance, il n'y a point d'autres mots. Il aime se donner des genres, adore qu'on le remarque mais n'a aucun sens des responsabilités, de la famille ou tout simplement de respect.
Il se la pète, fait le beau, se croit au dessus des autres parce qu'il est le fils de l'alpha, mais Frédéric n'a rien comprit à la vie. Il joue, sans connaître les réels enjeux et pense qu'un jour il pourra revendiquer le titre d'alpha.
Possession et signes distinctifs : Beaucoup de tatouage
Histoire :
Fils bâtard d'une femelle de Lazar, Frédéric est élevé loin de la meute par sa mère et comme tous les enfants de Lazar, il ne sera pas plus considéré que ses autres frères et sœurs. (demis). Il ne se joint à la meute que par épisode et grandit sans vraiment comprendre les rouages complexes de ce lieu dangereux. Au final, il commence à se la jouer un peu trop, voir beaucoup, petit con en puissance, il se fait passer pour un héros dans la meute, lorsque lors d'une bataille, il "sauve" Fay d'une attaque en se prenant lui le sort de pétrification. En fait rien du tout, il a trébuché et voilà.
Fay sait très bien que son frère n'est qu'un petit con et ne se soucie guère de lui, il viendra un moment où il se fera avoir comme un grand et tout seul.

Liens
-Fay Woodsborrow: être calife à la place du calife...c'est un peu l'idée. Il ne respecte pas sa sœur, mais se fait si gentiment ratatiner qu'il doit fermer sa gueule. Un jour il la tuera et il aura sa place. Même si leur père ne le regardera pas plus. Frédéric n'a rien compris pour l'instant.
-Ambrosius Ivanov: il l'évite, ce type fait mal et il n'a pas envie de se manger une raclée par lui. En plus c'est le mec de sa sœur alors il est con!
-Velkan L. Blaszczyk: un autre demi frère, plus grand, comme s'il en avait déjà pas assez, il a fallu ramener celui là.
-Louison de Montarsis: Une belle salope qu'il se ferait bien.
-Sergeï "Titus" Rykov: Il prend de haut ce loup serviteur et sans attrait pour lui.
-Deidre Mayfair : La tarée de la meute qui a plus ou moins mal pris sa drague, elle n'aurait pas dut, il voulait juste la baiser
-Anton Edwards : Gros, moche, moche et gros, il ne voit pas ce qu'un loup de sa catégorie fait ici.

VI Idées d'évolution


Frédéric a des œillères, il est peureux mais se croit supérieur. Pour lui seul compte la beauté, et lui. Il se trouve beau, il se trouve intéressant, bref, il s'y croit. Reste donc à savoir son évolution. Il est incapable d'empathie tant il ne pense qu'à lui, incapable de considérer les gens et de voir la réalité.
Va-t-il tomber de haut et se redresser? Ou s'enfoncer un peu plus? Libre à vous

Anton Edwards


"Ahouuuuuuuu ça veut dire quoi déjà en humain?
J'ai envie de toi nu dans la neige?
Ah bah ça veut dire beaucoup de chose dis donc...."
I Caractéristiques du personnage


Age : 37 ans
Race : Loup Garou
Statut de sang : Purs
Métier ou groupe d'appartenance : Loups garou, créateur d'engin explosif en tout genre
Don :Loups garou
Avatar: Zach Galifianakis (négociable, doit rester dans l'idée de l'homme pas très beau)


II Histoire, liens, intérêt


Votre caractère : Très intelligent, peut être trop, Anton a un sens aigus de la réalité et sait parfaitement qu'il n'est ni beau, ni sexe, ni super trop cool. Non. Il est intelligent et bourré d'humour, noir, de préférence, comme le chocolat qu'il dévore dès qu'il a une idée et il en a plein...des idées, il en a tellement qu'il dort très peu. De toutes façon, dormir c'est mourir pour lui.
Timide derrière ses airs de comique, Anton n'a pas eu un passé super mais il aime bien sa nouvelle famille.
Possession et signes distinctifs : Libre
Histoire :
Second fils Edwards, petits bourgeois Londonien, Anton ne fut pas le beau gosse de la famille et encore moins le type que tout le monde adorait. Petit déjà, gros aussi, il subit les moqueries des enfants mais s'isola dans son intelligence. Si son aîné était un mec plutôt enviable, beau, sportif, champion de Quidditch, adulé, adoré, Anton est le canard boiteux de cette famille de bourgeois.
Il fait sa vie, se barricade avec l'humour, contre la méchanceté, avec ces complexes et finit par devenir un type reconnu dans le milieu de la magience. Il fait sa vie, sa petite vie, ne cherche pas à faire fortune et quand il a 27 ans...et bien. PAF! Son frère pose parjure sur le nom de la famille, la petite société familiale s'écroule par faillite, le frère se suicide par pendaison, le père se tourne vers Anton. Il lui demande de l'aide, de l'argent, de quoi redorer le nom de la famille. Anton accepte, mais peu à peu, on lui dit clairement qu'il ne vaut pas son frère, que Lucas était important que Anton est un second choix, un mauvais second choix. Anton, trop gentil, se tait. On attend en vérité que son jeune frère soit capable de reprendre la place de l'aîné pour jeter Anton de la direction de l'entreprise qu'il a sortit de la faillite.
Et puis, cela arrive, il se fait jeter. Anton part de Londres, sans trop savoir où aller...et puis il passe par l'Allemagne, il tombe sur les loups, il a 30 ans. Il subit une attaque alors que terrifié, il essaye de se défendre, Louison le sauve in extrémis et demande à Fay de ne pas l'abandonner. La lune est pleine, un nouveau loup rentre dans la meute.

Il apprends, il devient un loup, scientifique, il cherche des solutions pour aider au combat malgré les réticences des autres. Il se sent peu à peu chez lui et même si sa famille cherche toujours à prendre le contact pour de l'argent, il s'y refuse. Anton a complètement délaissé son sang, pour la meute.

Liens
-Fay Woodsborrow: L'alpha qu'il suit et qu'il respecte, elle lui a apprit beaucoup de chose. Il aime bien l'interrompre dans ses préoccupations pour aller lui sortir une petite blague.
-Ambrosius Ivanov: Enquiquiner ce loup, c'est pas très intelligent, mais ça l'amuse. Premier pour les blagues potaches, Anton ne se prive pas et en fait plein à Ambrosius. Mais chut, c'est pas lui.
-Louison de Montarsis: elle est très belle, mais il sait qu'il ne plait pas aux filles, pas comme les beaux gosses le font, alors il n'espère pas trop et se contente de la faire rire.
-Velkan L. Blaszczyk: libre
-Sergeï "Titus" Rylov: Le type trop zen qui comprend pas forcément ses blagues, bon, ok, il est pas non plus très léger dans son humour, mais quand même...
-Deidre Mayfair: Elle a beaucoup souffert, il le sait, c'est lui qui l'a soigné. Il prendra son temps pour la laisser se sentir en sécurité et qu'elle veuille bien de lui en ami
-Frédéric Woodsborrow: On dit souvent que bienheureux sont les imbéciles...bien...il doit être vachement heureux ce type en fait. Ainsi pense Anton

VI Idées d'évolution

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