Contexte-Annexes
Contexte-Annexes
Détails pour le jeu
Le monde de Carmilla: histoire, société et compagnie
Le cadre est une époque victorienne qui ressemble à bien des égards à celle connue par nos ancêtres. Mais une différence est certaine : la science a pris un tour différent. La révolution industrielle a bien eu lieu mais la vapeur propulse les machines au sein de société forcément autre.
C’est un mouvement aux multiples branches littéraires, esthétiques, musicales… C’est un retour vers le passé qui peut sembler plus beau, plus simple, moins décevant. C’est un moment avant les deux grandes guerres, la bombe, un monde de terres encore inconnues où les inventions se multiplient.
Le chemin de fer, la machine à vapeur, le téléphone et le télégraphe, l’électricité, la photographie sont des éléments clés qui permettent le développement de cet univers. C’est l’impact de ces inventions qui marque le monde. La liste des bouleversements est grande : expansion des villes, développement des classes moyennes et bourgeoises, industrialisation, extraordinaire vitalité artistiques et créatives, mutations sociales. Toute une montée de progrès.
L’empire britannique est grand, son étendue, autant coloniale que scientifique, s’affirme par son influence, son pouvoir et la force de sa culture. Mais tout n’est pas rose. Le monde commence à mettre en avant l’horreur de la colonisation, de la manière dont son traité les noirs notamment, les colonisés en quelques sortes. Sans compter les crimes et la pauvreté où une partie de la société anglaise est engluée. Le crime, le vice s’entrelacent dans un monde mené par une Reine Mère dirigeant le monde d’une poigne de fer.
Les mouvements anarchistes s’agitent. Nous sommes pourtant face à un fait évident, la noblesse reste prédominante, mais même si elle peut encore affirmer sa position, les désargentés à la riche particule ne font parfois plus le poids face à l’émergence des nouveaux riches, de jeunes étudiants boursiers, issu de basse classe, qui ont l’intelligence et veulent s’en sortir. Bourgeois, prolétaire, nouveaux riches, la haute société anglaise n’est plus fermée à l’élite noble uniquement. Tout au contraire !
Nous sommes à une époque de savoir. Les étudiants envahissent les universités, les plus méritant obtiennent des bourses et même si l’inégalité est encore flagrante, là où des jeunes nobles peuvent s’abandonner aux bancs de la fac sans réel désir de réussir, les moins riches semblent se battre pour détenir une place dans le futur. Les universités londoniennes sont un lieu prisé.
C’est en 1700 que le monde connait de grands bouleversements. Laissant alors à l’Angleterre et son empire, toute la place possible pour étendre sa dominance sur le monde. En effet, l’évolution scientifique semble prendre racine dans la société anglaise ainsi que celle technologique. Ou encore culturelle ou médicinale.
La présence de Jules Vernes dans l’évolution de cette société affirme une prédominance certaine. Malgré ses origines noires, le génie scientifique apportera à l’Angleterre une mise en avant technologique avec ses premières inventions et ses apports scientifiques. L’utilisation de l’énergie de la vapeur notamment. Une écrasante évolution qui fera de son entreprise une première mondiale assez rapidement, marquant la société humaine d’une dominance scientifique.
La bourgeoisie donc, domine la société. Elle succède à la noblesse, reprenant pour partie ses manières, son savoir-vivre : étiquette, danses, goûts artistiques. Mais complexée par le dédain que lui voue les familles désargentées qui peuvent établir un arbre généalogique aux ramifications sans fin, elle multiplie les règles qui incluent et qui excluent les hommes et femmes qui veulent s’intégrer à ses rangs. Elle a pour valeur principale la Science, l’Ordre, le Progrès ... le tout mesuré par le maître-étalon monétaire.
Mais en ses bas-fonds , la société industrielle engendre des monstres, tel Jack l’Eventreur qui font trembler d’un délicieux sentiment de terreur la bourgeoisie, lorsqu’ils assassinent, par série, d’innocentes victimes dans la nuit des grandes villes. Or si les classes populaires dégénèrent au contact de l’alcool, en particulier de l’absinthe, les classes supérieures sont, elles, régulièrement corrompues par l’opium.
Comme nous le disions, c’est en 1700 que le monde connait de grand bouleversement. Le cour de l’histoire est touché par les premiers grands inventeurs qui entrent au service des royaumes. Le Royaume-Unis se démarquera totalement de tout cela en se tenant à l’écart des conflits qui se produisent entre les terres Européennes. La famille royale d’Angleterre tient une force armée navale importante si bien que les pays ne s’attardent pas à entrer en conflit avec elle. Mais entre eux, ils se font une guerre cruelle et sans pitié.
La Grande Russie est la première à vouloir plus d’importance, elle mène un conflit vers l’Asie comme vers l’Allemagne, elle mettra dix ans à réaliser son erreur lorsque, repoussée derrière ses frontières, elle sera alors contrainte de cesser son désir d’émancipation. Les têtes royales tombent, le peuple n’étant pas de l’avis des couronnés pour cette guerre et subit en 1800 l’arrivée de la république.
L’Allemagne, la Suisse, la Hongrie, les Pays-Bas, la Belgique et l’Autriche garderont leurs monarchies. En effet, nullement disposées à jouer la guerre, les têtes couronnées préfèrent la défense et la préservation de leur territoire et frontières. Naîtra alors l’alliance des six. Cette alliance formera un étau solide qui empêchera la disparition des nations.
La France livrera une guerre à l’Italie et l’Espagne. Malheureusement, La France se retrouvera seule et acculée. Au point qu’elle verra à sa tête posée un héritier de la couronne espagnole et de l’autre italienne pour unir les deux pays sur ce territoire. Cependant, l’Italie comme l’Espagne préserveront la culture française. Ils ne veulent tout simplement plus de la guerre.
Au final, alors que les guerres éclatent, le Royaume-Unis a eu le temps de se concentrer sur son évolution jusqu’à voir naître de grands esprits. Continuer son expansion coloniale et dévorer alors sa place dans ce monde en compagnie des États-Unis d’Amérique, son plus proche concurrent, mais ils sont plus faibles. Une histoire bien plus courte que celle du Royaume-Unis et une grande étendue de terres encore vides.
Les États-Unis d’Amériques obtiennent leur indépendance durant ces guerres en 1805.
Le Canada devient Anglais. Les Amériques du Sud restent entièrement à l’Espagne et au Portugal.
L’Afrique est colonisée par divers pays, France, Belgique et autres. L’Asie, quant à elle, est marquée par l’ouverture du Japon au monde. Le pays de tradition finit par accepter de s’ouvrir au monde et sort de sa propre enclave. Son Empereur en fait le choix.
La Chine est sous le joug de l’Empereur. L’Inde est colonisée par les Anglais.
L’Empire Britannique est le premier Empire. En son sein, meilleurs médecins, meilleurs inventeurs et explorateurs. Dirigé par la reine Victoria, le Royaume-Unis se démarque par la présence de l’immense Entreprise Verne qui lui assure toute l’avancée technologique possible.
Nous parlons beaucoup des humains, peu des créatures. La chose est simple. Partout à travers le monde, les traqueurs, essentiellement portés par Verne Industries, veillent à ce que le monde ignore tous des vérités sur les surnaturels. Par exemple: Les États-Unis ont été bâtis par des immigrés, des gens venus d'Angleterre, qui ont toujours vécu avec ses légendes ils ont voyagé pour former un nouveau monde et ils ont eu la chance d'un nouveau départ, là où les créatures n'auraient pas autant de pouvoirs ni d'influences qu'en Europe et sur les vieux continents, là où ils sont implantés depuis toujours de ce fait les traqueurs ont pu faire le tri dès le départ, directement dans les flots d'immigrés qui débarquaient dans les ports. De plus, le territoire est sous le contrôle des traqueurs, qui sous couvert du rôle de chasseur de prime, arpentent le territoire pour veiller à ce que les créatures soient tenues en faible effectif.
Le mot d'ordre pour une créature est le silence: moins elle se fera remarquée, moins les traqueurs pourront la chasser. En vérité, plus une créature se fera passer pour une humaine et cherchera à s'infiltrer quel que soit sa race (vampire etc), plus elle aura de la chance d'être laissée tranquille.
[Si vous avez des questions, n’hésitez pas à les poser dans le FAQ]
© Code de Anéa pour N-U
Fay Woodsborrow- Messages : 202
Date d'inscription : 23/03/2010
Feuille de personnage
dd: age
Re: Contexte-Annexes
Le monde de Carmilla : esthétisme, technologie et compagnie.
Nous parlons d’esthétisme dans l’univers de Carmilla, nous pourrons aussi parler de cliché. Prenez un aventurier, une espionne, un savant, un mécanicien, habillez-les avec des vêtements du XIXème, ajouter des accessoires science-fictif à base de rouage et de pièces cuivrées, vous aurez dès lors l’esthétisme de notre univers.
Le but de cet univers n’est pas de coller à une société passée, ressemblant à notre monde, mais de se laisser aller au plaisir de la tenue, fantasque comme sérieuse. L’époque de la reine Victoria imprime une idée de pudeur, repoussons cela et prenez le gout de créer vos envies à coup de jupons, de corsages, cuirs et de dentelles. Bien entendu, n’oubliez pas qu’une femme respectable ne se découvre pas forcément le corps avec outrage !
C’est un esthétisme à part entière. Comme si le Londres de Dickens s’alliait au bas-fond de David Copperfield en s’harmonisant à la beauté et au raffinement de soirées d’opéra. Vapeur, machines, Zeppelin traversant les cieux après un long voyage depuis New York.
Le cœur de Londres est orné de Building de métal, les villes apprennent à garder l’essence du passé pour le conjuguer à l’avenir.
La machine à vapeur est un symbole tout entier dans cet univers de rouage. L’électricité aujourd’hui en train de se propager dans la haute société.
L’énergie tirée du charbon n’est pas, en puissance, inférieure à celle obtenue dans notre monde par l’électricité, quand on consent aux contraintes qui s’imposent : les chaudières valent les piles, quand on en accepte la taille. Le charbon pousse donc d’abord au gigantisme. La vapeur ne peut circuler que dans des tuyauteries de cuivre, sous pression, toujours au bord de la rupture. L’humidité, la chaleur saturent l’atmosphère alentours. La transmission de la dynamique est, pour pallier à ces inconvénients, souvent mécanique, avec les axes, les rouages, les frottements et le cambouis indispensables. Les machines sont lustrées, rouillées ou noires de graisses, selon le mécanicien qui les entretient. La clef anglaise est l’outil roi, avec le marteau : la force brute contraint les métaux. Le paysage sonore en découle : cliquetis, chocs sourds, grincements : le monde est bruyant, le silence est suspect.
L’industrie impose la concentration des hommes, donc la ville. Les villes qui poussent aux marges des usines et qui en dépendent reçoivent leurs fumées noires, leurs eaux tièdes et polluées. L’éclairage au gaz est indispensable souvent une bonne partie de la journée. Ceux qui le peuvent réussissent à avoir l’électricité, phénomène moderne mais en balbutiement encore.
Dans l’Europe du Nord, le smog est quotidien. L’air extérieur étant souvent difficilement respirable, les galeries souterraines ne sont plus répulsives : ainsi s’impose l’idée d’un métro dans la plupart des mégapoles. (Celui de Londres traverse tous les quartiers). Métropolitain (à vapeur) et chemins de fer sont par ailleurs indispensables à l’extension tentaculaire des banlieues. Mais pour les déplacements, les machines à vapeur ne sont pas seulement l’apanage des transports ferrés : sur terre, les automotives familiales, ou dans les airs, les énormes aérostats largement améliorés grâce à Henri Giffard ou au baron von Zeppelin (scientifiques de Vernes Industries), permettent aux hommes de franchir rapidement les plus grandes distances.
En cette Nouvelle Ère, les aventures des uns et des autres sont forcément pleines de rebondissements. Si les méchants promettent aux héroïnes un « destin-pire-que-la-mort », les querelles se vident le plus souvent en des duels aux pistolets ou à l’épée, duels dignes des romans de Dumas (lui-même, notons-le d’ailleurs, enfant de ce siècle). Courses poursuite le sabre à la main, sur les toits de wagons tirés par une locomotive à vapeur à l’approche d’un tunnel, voltige sur le pont d’un dirigeable avec à tout moment, le risque d’être happé par le vide, sont des épisodes courants de la vie d’un héros.
Aussi la mort ne peut-elle être que tragique, grandiose, théâtrale. Les plus sures défenses sont souvent encore les lames : la poudre noire qui charge les armes de poings ou d’épaule est instable et capricieuse. Recharger une arme à feu vous laisse cent fois le temps de vous faire tuer : mieux vaut savoir manier l’épée. Finalement, seuls les savants-fous s’entêtent à inventer de nouvelles armes à feu : avec toujours cette particularité : ils la veulent toujours plus grosse, bruyante et fumante.
Verne et Tesla ont travaillé ensemble jusqu'à la mort de Tesla, provoquant alors le gros développant de Verne's industries. L'électricité et la vapeur ont pu dès lors se développer ensembles.
Qu'est-ce que l'étiquette? Les règles de bienséance de l'époque! Bien entendu, l'étiquette n'est là qu'à titre d'information. Mais sachez que la bienséance ordonne ce genre de pensée pour les Dames et les Messieurs.
Mais les femmes semblent pourtant peu à peu s'émanciper de ce genre d'interdit.
Etiquette pour les femmes :
- une dame ne fait jamais de scène en public,
- une dame ne lit pas le journal et ne parle jamais de politique, que ce soit chez elle ou dans les receptions.
- une dame ne fume jamais et ne joue pas d’argent.
- une dame ne reste jamais seule avec un gentleman plus de cinq minutes.
- une dame ne croise jamais les genoux mais les tient côte à côte
- une dame ne rend jamais visite à un gentleman, sauf pour raisons professionnelles ou affaires.
Etiquette pour les gentlemen :
- un gentleman escorte toujours une dame en restant sur sa gauche, afin de pouvoir tirer son arme sans la gêner (pour les droitiers uniquement)
- un gentlemen ne fume jamais devant une dame avant que celle ci ne l’ai invité à le faire. (d’où l’utilité des fumoirs entre autres)
- un gentleman ne jure jamais en présence d’une dame
- un gentlemen ouvre toutes les portes à une dame et tire les chaises pour qu’elle puisse s’assoir.
- un gentleman ne parle pas de sa maîtresse ou de sports vulgaires en présence d’une dame, surtout si c’est une jeune fille.
- un gentleman ne retire jamais sa veste ou sa cravate lorsqu’il est en bonne compagnie.
- un gentleman qui escorte une dame quelque part, prend sa pelisse et son bonnet, puis les tend à un domestique.
Le rang social (règles d’étiquette typiquement victoriennes)
- Il ne faut jamais s’adresser en premier à une personne de rang social supérieur sauf si elle compte parmi vos intimes.
- Vous pouvez refuser un défi en duel d’un inférieur social.
- Deux officiers ne peuvent se battre en duel que s’ils ont le même grade.
- L’épouse d’un genleman acquiert le rang de son mari s’il est plus élevé que le sien ; l’inverse est faux. Le fils aîné d’un noble reçoit le titre immédiatement en dessous de celui de son père.
- Seuls les parents, les frères, les soeurs et les époux s’appellent par leurs prénoms.
Savoir-vivre:
- Saluez toujours vos relations quand vous les croisez.
- Dans un dîner, adressez vous toujours à vos voisins (à gauche et à droite) ne criez pas vers la personne placée en bout de table.
- Les pourboires outranciers sont vulgaires (jamais plus de deux pour cent de la somme totale)
Sortir, aller au bal sans faire de fausse note…
- un gentleman ne doit pas danser plus de deux fois avec la même dame a moins qu’il ne ce soit déclaré.
- Avant de danser avec une dame, on doit lui avoir été présenté précédemment.
- En Angleterre, une jeune fille doit avoir reçu la permission avant de pouvoir valser.
- Pour sortir, une jeune fille doit porter des couleurs pastel ou du blanc et porter des fleurs ou des perles comme ornements. Les bijoux et les robes de couleurs sombres sont l’apanage des femmes mariées.
- Durant un bal, la bibliothèque (ou tout autre endroit dit intime) est interdite aujeunes filles et à leurs partenaires.
- Une femme mariée entre dans la salle de bal au bras de sont époux ou de son fils aîné. Si elle ne peut se faire accompagner par aucun des deux, elle est accompagnée d’un homme d’un rang égal au sien.
- Valser à l’envers est d’une grossièreté impardonnable.
La vie amoureuse : maîtresses, femmes et rendez vous galants…
- Ne proposez jamais un rendez-vous à haute voix, envoyez de préférence un « billet doux » à son club (pour un homme) ou à son salon (pour une femme)
- un gentleman n’a jamais d’aventure avec une femme mariée qui n’a pas encore donné naissance à un héritier mâle (ceci afin d’éviter les mauvaises surprises au moments de la succession)
- Homme ou femme, n’affichez jamais vos infidèlité en public.
- Homme ou femme, on n’a jamais d’aventure sous son propre toit.
- En promenade à cheval ou en voiture, un gentleman place a sa droite sa femme, à sa gauche sa maîtresse (en cas de rencontre, cette convenance évite les situations embarassantes.)
- Enfin, gardez à l’esprit qu’en ce temps là, le divorce est très très mal vu.
Le but de cet univers n’est pas de coller à une société passée, ressemblant à notre monde, mais de se laisser aller au plaisir de la tenue, fantasque comme sérieuse. L’époque de la reine Victoria imprime une idée de pudeur, repoussons cela et prenez le gout de créer vos envies à coup de jupons, de corsages, cuirs et de dentelles. Bien entendu, n’oubliez pas qu’une femme respectable ne se découvre pas forcément le corps avec outrage !
C’est un esthétisme à part entière. Comme si le Londres de Dickens s’alliait au bas-fond de David Copperfield en s’harmonisant à la beauté et au raffinement de soirées d’opéra. Vapeur, machines, Zeppelin traversant les cieux après un long voyage depuis New York.
Le cœur de Londres est orné de Building de métal, les villes apprennent à garder l’essence du passé pour le conjuguer à l’avenir.
La machine à vapeur est un symbole tout entier dans cet univers de rouage. L’électricité aujourd’hui en train de se propager dans la haute société.
L’énergie tirée du charbon n’est pas, en puissance, inférieure à celle obtenue dans notre monde par l’électricité, quand on consent aux contraintes qui s’imposent : les chaudières valent les piles, quand on en accepte la taille. Le charbon pousse donc d’abord au gigantisme. La vapeur ne peut circuler que dans des tuyauteries de cuivre, sous pression, toujours au bord de la rupture. L’humidité, la chaleur saturent l’atmosphère alentours. La transmission de la dynamique est, pour pallier à ces inconvénients, souvent mécanique, avec les axes, les rouages, les frottements et le cambouis indispensables. Les machines sont lustrées, rouillées ou noires de graisses, selon le mécanicien qui les entretient. La clef anglaise est l’outil roi, avec le marteau : la force brute contraint les métaux. Le paysage sonore en découle : cliquetis, chocs sourds, grincements : le monde est bruyant, le silence est suspect.
L’industrie impose la concentration des hommes, donc la ville. Les villes qui poussent aux marges des usines et qui en dépendent reçoivent leurs fumées noires, leurs eaux tièdes et polluées. L’éclairage au gaz est indispensable souvent une bonne partie de la journée. Ceux qui le peuvent réussissent à avoir l’électricité, phénomène moderne mais en balbutiement encore.
Dans l’Europe du Nord, le smog est quotidien. L’air extérieur étant souvent difficilement respirable, les galeries souterraines ne sont plus répulsives : ainsi s’impose l’idée d’un métro dans la plupart des mégapoles. (Celui de Londres traverse tous les quartiers). Métropolitain (à vapeur) et chemins de fer sont par ailleurs indispensables à l’extension tentaculaire des banlieues. Mais pour les déplacements, les machines à vapeur ne sont pas seulement l’apanage des transports ferrés : sur terre, les automotives familiales, ou dans les airs, les énormes aérostats largement améliorés grâce à Henri Giffard ou au baron von Zeppelin (scientifiques de Vernes Industries), permettent aux hommes de franchir rapidement les plus grandes distances.
En cette Nouvelle Ère, les aventures des uns et des autres sont forcément pleines de rebondissements. Si les méchants promettent aux héroïnes un « destin-pire-que-la-mort », les querelles se vident le plus souvent en des duels aux pistolets ou à l’épée, duels dignes des romans de Dumas (lui-même, notons-le d’ailleurs, enfant de ce siècle). Courses poursuite le sabre à la main, sur les toits de wagons tirés par une locomotive à vapeur à l’approche d’un tunnel, voltige sur le pont d’un dirigeable avec à tout moment, le risque d’être happé par le vide, sont des épisodes courants de la vie d’un héros.
Aussi la mort ne peut-elle être que tragique, grandiose, théâtrale. Les plus sures défenses sont souvent encore les lames : la poudre noire qui charge les armes de poings ou d’épaule est instable et capricieuse. Recharger une arme à feu vous laisse cent fois le temps de vous faire tuer : mieux vaut savoir manier l’épée. Finalement, seuls les savants-fous s’entêtent à inventer de nouvelles armes à feu : avec toujours cette particularité : ils la veulent toujours plus grosse, bruyante et fumante.
Verne et Tesla ont travaillé ensemble jusqu'à la mort de Tesla, provoquant alors le gros développant de Verne's industries. L'électricité et la vapeur ont pu dès lors se développer ensembles.
L'étiquette
Source la dame de lys
Source la dame de lys
Qu'est-ce que l'étiquette? Les règles de bienséance de l'époque! Bien entendu, l'étiquette n'est là qu'à titre d'information. Mais sachez que la bienséance ordonne ce genre de pensée pour les Dames et les Messieurs.
Mais les femmes semblent pourtant peu à peu s'émanciper de ce genre d'interdit.
Etiquette pour les femmes :
- une dame ne fait jamais de scène en public,
- une dame ne lit pas le journal et ne parle jamais de politique, que ce soit chez elle ou dans les receptions.
- une dame ne fume jamais et ne joue pas d’argent.
- une dame ne reste jamais seule avec un gentleman plus de cinq minutes.
- une dame ne croise jamais les genoux mais les tient côte à côte
- une dame ne rend jamais visite à un gentleman, sauf pour raisons professionnelles ou affaires.
Etiquette pour les gentlemen :
- un gentleman escorte toujours une dame en restant sur sa gauche, afin de pouvoir tirer son arme sans la gêner (pour les droitiers uniquement)
- un gentlemen ne fume jamais devant une dame avant que celle ci ne l’ai invité à le faire. (d’où l’utilité des fumoirs entre autres)
- un gentleman ne jure jamais en présence d’une dame
- un gentlemen ouvre toutes les portes à une dame et tire les chaises pour qu’elle puisse s’assoir.
- un gentleman ne parle pas de sa maîtresse ou de sports vulgaires en présence d’une dame, surtout si c’est une jeune fille.
- un gentleman ne retire jamais sa veste ou sa cravate lorsqu’il est en bonne compagnie.
- un gentleman qui escorte une dame quelque part, prend sa pelisse et son bonnet, puis les tend à un domestique.
Le rang social (règles d’étiquette typiquement victoriennes)
- Il ne faut jamais s’adresser en premier à une personne de rang social supérieur sauf si elle compte parmi vos intimes.
- Vous pouvez refuser un défi en duel d’un inférieur social.
- Deux officiers ne peuvent se battre en duel que s’ils ont le même grade.
- L’épouse d’un genleman acquiert le rang de son mari s’il est plus élevé que le sien ; l’inverse est faux. Le fils aîné d’un noble reçoit le titre immédiatement en dessous de celui de son père.
- Seuls les parents, les frères, les soeurs et les époux s’appellent par leurs prénoms.
Savoir-vivre:
- Saluez toujours vos relations quand vous les croisez.
- Dans un dîner, adressez vous toujours à vos voisins (à gauche et à droite) ne criez pas vers la personne placée en bout de table.
- Les pourboires outranciers sont vulgaires (jamais plus de deux pour cent de la somme totale)
Sortir, aller au bal sans faire de fausse note…
- un gentleman ne doit pas danser plus de deux fois avec la même dame a moins qu’il ne ce soit déclaré.
- Avant de danser avec une dame, on doit lui avoir été présenté précédemment.
- En Angleterre, une jeune fille doit avoir reçu la permission avant de pouvoir valser.
- Pour sortir, une jeune fille doit porter des couleurs pastel ou du blanc et porter des fleurs ou des perles comme ornements. Les bijoux et les robes de couleurs sombres sont l’apanage des femmes mariées.
- Durant un bal, la bibliothèque (ou tout autre endroit dit intime) est interdite aujeunes filles et à leurs partenaires.
- Une femme mariée entre dans la salle de bal au bras de sont époux ou de son fils aîné. Si elle ne peut se faire accompagner par aucun des deux, elle est accompagnée d’un homme d’un rang égal au sien.
- Valser à l’envers est d’une grossièreté impardonnable.
La vie amoureuse : maîtresses, femmes et rendez vous galants…
- Ne proposez jamais un rendez-vous à haute voix, envoyez de préférence un « billet doux » à son club (pour un homme) ou à son salon (pour une femme)
- un gentleman n’a jamais d’aventure avec une femme mariée qui n’a pas encore donné naissance à un héritier mâle (ceci afin d’éviter les mauvaises surprises au moments de la succession)
- Homme ou femme, n’affichez jamais vos infidèlité en public.
- Homme ou femme, on n’a jamais d’aventure sous son propre toit.
- En promenade à cheval ou en voiture, un gentleman place a sa droite sa femme, à sa gauche sa maîtresse (en cas de rencontre, cette convenance évite les situations embarassantes.)
- Enfin, gardez à l’esprit qu’en ce temps là, le divorce est très très mal vu.
© Code de Anéa pour N-U
Fay Woodsborrow- Messages : 202
Date d'inscription : 23/03/2010
Feuille de personnage
dd: age
Re: Contexte-Annexes
Le monde de Carmilla en Image
Parfois, à la place de long discours, l'on peut simplement se laisser aller à quelques visions clichés. Pour le plaisir des yeux
Source: Steampunktendencies
Source: Steampunktendencies
Code de Anéa pour N-U
Fay Woodsborrow- Messages : 202
Date d'inscription : 23/03/2010
Feuille de personnage
dd: age
Re: Contexte-Annexes
Les Verne
La famille Verne est installée dans le cœur de Londres depuis plusieurs décennies. Le grand-père de Jules, Lord Emmett Verne, était déjà connu pour ses créations et ses recherches hors du commun et avait fondé la « Verne Industries » afin de commercialiser celles qu’il estimait exceptionnelles. Marié et père d’un seul fils, il fut tué lors de l’explosion de son atelier alors qu’il travaillait sur une arbalète mécanisée, à lancée de flèches à répétitions. Les rumeurs à l’époque ont courues comme quoi ce n’était pas un accident mais un attentat contre l’homme et son génie. D’ailleurs l’arbalète fut commercialisée quelques années plus tard par les industries Senfield, concurrente à l’époque de la Verne Industries.
Le père de Jules, Lord Peter Verne, ainé de la famille, hérita de la compagnie de son père. L’homme avait tout autant de génie que son père et il décida de perpétuer ce que son paternel avait créé. Agrandissant la compagnie, travaillant comme un fou pour être le digne successeur de son père, il fit un long voyage après la mort de sa mère afin de prendre du recul et faire taire le chagrin qu’il ressentait. C’est à cette époque qu’il rencontra la mère de Jules, qu’il l’épousa et s’installa avec elle en Afrique. Jules naquit un an plus tard et lorsque sa mère mourut, Peter Verne ramena son fils à Londres avec lui, prêt à reprendre les rennes de la compagnie familiale.
Un remariage plus tard, deux autres fils, Paul et Gabriel vinrent agrandir la famille. Jules avait hérité du génie de son père ce qui le plaça rapidement dans la compagnie à la tête des créations. Paul s’occupait des contrats et du côté commercial et Gabriel était un géni des chiffres. Les trois frères régnaient désormais sur le monde de l’innovation. Et la nouvelle génération n’est pas en reste. La fille de Jules, Shâlimar ainsi que celle de Gabriel, Nefertiri sont à leur tour de véritables créatrices, douées d’une imagination débordante.
Le père de Jules, Lord Peter Verne, ainé de la famille, hérita de la compagnie de son père. L’homme avait tout autant de génie que son père et il décida de perpétuer ce que son paternel avait créé. Agrandissant la compagnie, travaillant comme un fou pour être le digne successeur de son père, il fit un long voyage après la mort de sa mère afin de prendre du recul et faire taire le chagrin qu’il ressentait. C’est à cette époque qu’il rencontra la mère de Jules, qu’il l’épousa et s’installa avec elle en Afrique. Jules naquit un an plus tard et lorsque sa mère mourut, Peter Verne ramena son fils à Londres avec lui, prêt à reprendre les rennes de la compagnie familiale.
Un remariage plus tard, deux autres fils, Paul et Gabriel vinrent agrandir la famille. Jules avait hérité du génie de son père ce qui le plaça rapidement dans la compagnie à la tête des créations. Paul s’occupait des contrats et du côté commercial et Gabriel était un géni des chiffres. Les trois frères régnaient désormais sur le monde de l’innovation. Et la nouvelle génération n’est pas en reste. La fille de Jules, Shâlimar ainsi que celle de Gabriel, Nefertiri sont à leur tour de véritables créatrices, douées d’une imagination débordante.
La famille Verne et les Traqueurs
Descendant direct des fondateurs de l’ordre des traqueurs, les Verne perpétuent la tradition en œuvrant dans l’ombre comme le veut cette organisation. Jules Verne en est désormais l’un des leadeurs e aux côtés de Morgan Montgomery, son meilleur ami et ensemble, ils font le nécessaire afin que les créatures de ce monde restent à leur place.© Code de Anéa pour N-U
Fay Woodsborrow- Messages : 202
Date d'inscription : 23/03/2010
Feuille de personnage
dd: age
Re: Contexte-Annexes
Les humains
Nos grands inventeurs
Présentation des inventions & compagnie Nous avons des inventeurs sur ce forum et oui! Et des inventrices, comme il est plaisant de savoir qui à inventé quoi, voici un répertoire de leurs inventions. Bien entendu, la liste n'est pas exhaustive et pourra être complété au fur et à mesure |
Code de Anéa pour N-U
Fay Woodsborrow- Messages : 202
Date d'inscription : 23/03/2010
Feuille de personnage
dd: age
Re: Contexte-Annexes
VANORA ELLINGTON : INVENTEUSE
STRIDER
Le Strider est un ensemble d'échasses mécaniques, mues par un moteur que l'opérateur porte dans son dos. Ce moteur est relié aux deux échasses, et tire sur des pistons lorsque l'opérateur bouge les pieds, ce qui permet à celui-ci de marcher avec le Strider aussi confortablement qu'il ne le ferait à pieds pendant une promenade. Il faut toutefois remarquer qu'il n'est pas possible de courir avec un Strider, celui-ci ne dépassant pas les 15 kilomètres par heure. De plus, il est assez difficile à rater : chaque pas fait un bruit métallique lourd.
Il a toutefois ses avantages : très solide, il met son porteur loin de ses adversaires. Même une créature très forte aura beaucoup de mal à le faire tomber par terre en raison de la lourdeur des deux jambes d'acier ainsi que des systèmes qui permettent de le faire venir debout. De plus, tenter de venir au contact avec le Strider est une garantie de se faire empaler par ses serres aussi lourdes que pointues.
Détail :
=> SAC A DOS / MOTEUR : Cette partie, solidement accrochée au plastron et aux échasses, est le centre du système. Il comprend trois tubes qui contiennent le carburant, ainsi que le moteur qui permet aux échasses de fonctionner normalement. Le carburant étant très volatil, briser un des tubes aura de bonnes chances de faire exploser l'ensemble... Et dans l'éventualité où le liquide inflammable ne ferait pas éclater la machinerie, la perte d'un tube suffirait à diminuer de façon conséquente les performances du Strider. La perte de deux tubes signerait la fin de l'aventure : les deux échasses pourraient à peine fonctionner. Cette partie est donc la principale faiblesse de cette étonnante machine.
=> OPÉRATEUR : La personne maniant le Strider est lourdement protégée : un plastron d'acier permettant d'éviter d'être blessé par un caillou ou un plomb, un casque dissimulant le visage, ainsi que plusieurs plaques attachées à la combinaison utilisée pour piloter. Sous cet attirail, il est quasiment impossible de reconnaître l'utilisateur du Strider, et encore moins de savoir si c'est un homme ou une femme. Le plastron de protection comporte une puissante lampe, alimentée par une pile qui se trouve dans le moteur. Celle-ci a une durée de vie d'environ 45 minutes. Enfin, l'opérateur porte en général un arc long ainsi qu'un carquois rempli de flèches normales et explosives.
=> JAMBES : Les longues jambes du Strider sont son avantage principal : elles sont très lourdes, et donc très difficiles à briser ou à bouger. Autant dire que prendre un coup de pied est la garantie de finir avec plusieurs os brisés. Ces immenses jambes sont maniées par plusieurs pistons hydrauliques, eux-mêmes alimentés par le sac à dos / moteur que porte l'opérateur.
=> PIEDS : Les pieds du Strider sont aussi une arme dangereuse : formés de trois pointes, ils permettent au véhicule de marcher de manière très stable, même sur des terrains délicats ou glissants. Par ailleurs, à l'intérieur même du pied se trouve un Gyroscope d'équilibrage, qui rétablit toujours la position de celui-ci à la verticale. Ainsi, si quelqu'un parvient à être suffisamment fort et à déséquilibrer le Strider, les pieds de celui-ci se remettront automatiquement dans une position "sûre" et il se retrouvera donc à nouveau en équilibre. A noter également que ces trois "griffes" peuvent assez facilement empaler une personne normale, vu le poids important des jambes et des moteurs combinés.
PISTOLET 4 COUPS
Ce pistolet est on ne peut plus simple sur son principe : des silex mettent le feu à une charge de poudre, qui projette ainsi une volée de plombs qui vont déchiqueter la cible. La différence avec les pistolets classiques, c'est d'abord qu'il y a deux canons et deux gâchettes, une par canon. En soi, c'est peu courant mais ça se voit parfois. Ce qui distingue cette arme des autres, c'est qu'un large mouvement circulaire du poignet permet d'ouvrir un petit compartiment dans la crosse et de pousser deux nouvelles charges de poudre et deux nouveaux tas de plombs dans l'arme : elle peut donc tirer, à nouveau, deux coups. Cette particularité a surpris plus d'une personne.
Certains disent que les revolvers sont plus fiables, ayant souvent des barillets à cinq ou six coups, mais Vanora préfère la puissance brute des pistolets classiques, qui ont beaucoup plus de "punch".
LE CAFARD
Le Cafard est un buggy rapide à six roues, qui est très proche du sol. Cela lui donne une stabilité très importante et une grande maniabilité, ce qui en fait le véhicule idéal pour aller quelque part, faire quelque chose, et s'en aller rapidement. Au niveau de la vitesse pure, il dépasse la majorité des voitures à vapeur et à pétrole, mais va bien moins vite qu'un train. Van' ne s'en sert qu'assez peu couramment.
LE VÉLOCIPÈDE MOTORISÉ
Non, le nom n'est pas très élégant : Vanora n'a pas encore trouvé quelque chose de "cool", comme le Cafard. Ce véhicule, s'il est bien moins stable que le Buggy, est nettement plus rapide et peut rivaliser avec un train. En revanche, son moteur est bien moins stable, contenant soit du gaz compressé, soit le mélange hautement inflammable d'Hazel Alba. Pour compenser cet aspect, le moteur dispose de quatre bouches d'échappement qui projettent une fumée noire et assez abjecte. Elle s'en sert pour la majorité de ses déplacements.
© Code de Anéa pour N-U
Fay Woodsborrow- Messages : 202
Date d'inscription : 23/03/2010
Feuille de personnage
dd: age
Re: Contexte-Annexes
James Moriarty / Génie du crime
Gaz
Peau de Chagrin
But: Gaz qui attaque la peau et la brûle. Nuisible sur : Tous types de créatures
Contenu dans un tube en verre, le gaz se libère grâce à un minuteur qui propulsera un petit marteau qui éclatera le verre. Son effet se dissipe une fois à l'air libre mais dans une pièce confinée, le gaz brûlera la peau, l'effet dure une grosse demi-heure dans un espace confiné.
Il contient un produit chimique corrosif pour la peau uniquement. Ainsi qu’une formule à base d’urticant pour les chairs.
Asphyxie
But: Bloque les fonctions respiratoire. Trachéotomie nécessaire. Nuisible sur : Loups, humains et sorciers. N’a pas été testé sur d’autres créatures. Ne marche pas sur les vampires.
Le gaz est contenu généralement dans une fausse fleur, ou autre, des capteurs repère l’inhalation d’un nez et libère le gaz. Le gaz bloque la respiration, une trachéotomie est nécessaire. L’effet se dissipe deux minutes après. Le gaz contient une plante naturelle et une composition chimique complexe.
Dysenterie
But: Provoquant les mêmes effets qu'une dysenterie, ce gaz une fois inhalée cause un grand chamboulement sur les envies primitives humaines. Nuisible sur : Tout être ayant un système digestif actif.
Même système que pour peau de chagrin.
Hilarant
ButProvoque l'hilarité de l'ennemi. Nuisible sur : Marche sur toutes les créatures.
Contenu dans une capsule propulsée qui sous l’effet de propulsion sur libère, distance de proximité (max 2m) ne fonctionne pas sur une longue distance. Un système de lance pierre mécanique propulsera la capsule.
Aucun de ses gaz n’est comercialisé.
En préparation, gaz de sommeil.
Autres projets
-Projet d’amélioration de l’humain.
Le sujet Edward : Homme de main du professeur Moriarty, il fut écrasé par une lourde plaque de métal, le torse écrasé ainsi qu’une partie de la face, il fut maintenu en vie et amélioré grossièrement avec un système de circuit relié à son système. Le cyborg est en phase d’essai. Edward a perdu sur les parties endommagés de son corps la sensation de toucher, et doit régulièrement être suivi et vérifié, il a perdu une partie de la vue de son œil droit. Si la peau a pu être mélangé à la synthétique de Verne Industries, il s’avère que Edward est obligé de se maintenir régulièrement dans un caisson qui le met en veille. Et le maintien en vie. Il ne peut sortir que durant un temps limité.Le professeur envisage des modifications qui lui permettront de rendre le cyborg plus utile à ses plans. Edward est d’un naturel fort et son bras droit a subi des modifications par un système mécanique qui lui donne un crochet assez spectaculaire. Il n’est pas programmé, mais il sait qu’il doit obéir au professeur s’il veut rester en vie. Il est équipé par un système de survie directement implanté à la base de son crâne, machine grossière qui aide à la circulation de produit visant à maintenir en vie et en harmonie son corps modifié.
© Code de Anéa pour N-U
Fay Woodsborrow- Messages : 202
Date d'inscription : 23/03/2010
Feuille de personnage
dd: age
Re: Contexte-Annexes
Familles sorcières
et leur domaine magique
Présentation des familles sorcières Dans cette annexe, nous vous présentons les familles sorcières se trouvant à Londres. Vous pouvez créer une famille autant qu'en rejoindre une. Pour en rejoindre une, consulter la fiche de la famille ci dessous. Vous pouvez autant faire simplement partie du domaine de la maison des sorciers qu'être un parent. Les familles de sorciers ne se regroupent pas forcément avec des liens de sang, mais des liens magiques de domaine. Pour le moment, la création de famille est ouverte. Nous avons : Le clan des IMAGINARISTES qui compte 8 membres. (dont PV) Le clan des IBRAHIM qui compte 2 membres (PV) Le clan des CLARCK qui compte 4 membres (dont PNJ) Le clan des MUIREADHAIGH qui compte 1 membre |
Le clan des PARRY-RHIANNON qui compte 1 membre
© Code de Anéa pour N-U
Fay Woodsborrow- Messages : 202
Date d'inscription : 23/03/2010
Feuille de personnage
dd: age
Re: Contexte-Annexes
MONTGOMERY
Les imaginaristes
Nom: Montgomery Devise: " L'imagination est l'oeil de l'âme." Symbole: Le M: Pour Montgomery et parce que chaque membre de la famille voit son prénom débuté par un M. Le livre ouvert: Symbolise le carnet que reçoit chaque Montgomery en venant au monde, issu du bois de l'arbre légendaire. La plume de paon : Animal du blason familial, le paon représente l'imaginaire. Le pachemin d'écriture: pour raconter encore et toujours. Le secret: Le mot d'ordre de la famille. Domaine magique: L'esprit [/i] |
Histoire de la famille
La légende du paon:
Bien avant que le monde ne sache écrire, quand la magie côtoyait à peine l'humain, une sorcière du nom de Marwella arpentait le monde. Elle usait de la magie sommaire des plantes, ce que l'on qualifiait de magie n'était que la médecine et ses premières heures. Elle errait sur la surface de la terre, marchait pieds nus et offrait ses guérisons contre un repas chaud et un lit pour la nuit.
Son esprit semblait la guider, toujours, vers les êtres plein de souffrance. Pas toujours de la souffrance physique, parfois même celle de l'esprit.
Marwella était réputée, douce et bienveillante, elle n'était qu'une humaine, elle progressait sans crainte dans les ténèbres, sans peur dans les ombres, ses sourires repoussaient les pires démons, ses regards anéantissaient les pires malfaisants. Elle pouvait voir quelque chose que les autres ne voyaient pas, l'imagination. Ce flux imperceptible dont elle pouvait priver les êtres à sa guise. Marwella ne craignait ni les cauchemars, ni les visions de terreurs, elle ne craignait pas la mort et personne n'avait d'emprise sur elle. Car Marwella voyait au delà de l'étau de la réalité. Au delà de ces choses là...
Et même si les créatures voulaient l'effrayer, Marwella se contentait de rire. Elle soufflait sur les esprits la liberté de l'imaginaire. Mais un jour...une des créatures tua Marwella, déchiquetant son corps et le monde fut comme étouffé dans un étau. Penché sur son corps, un bel homme pleurait, amant, amour, il était né de l'imagination de Marwella et il mourrait peu à peu. Il redeviendrait le paon aux plumes majestueuses et mourrait à ses côtés, laissant leur enfant observer le monde seul.
Il se coucha et recouvra le corps de la première Sorcière Montgomery. Alors ils disparurent dans la terre et naquit le Grand Arbre puisant ses racines dans le sol.... Un arbre aux feuilles rappelant les plumes de paon.
Comme toutes les légendes, l'histoire n'est pas certaine. C'est une légende. Un événement que l'on raconte. Mais c'est ainsi que commence l'histoire des Montgomery et elle court donc à travers le temps.
Les Montgomery sont reconnu dans le monde magique comme des sorciers de haute lignée. L'arbre généalogique de la famille remonte à des générations et des générations. Et l'un d'entre eux fut le fondateur de l'Ordre.
Les Montgomery sont une famille d'artistes: romanciers, peintres et autres, ils se sont souvent démarqués dans l'histoire de Londres.
Doctrine
Les Montgomery reçoivent dès leur naissance, un carnet de cuir noir et une plume de paon.
Pour pouvoir utiliser leur magie, ils doivent consigner des récits imaginaires dans ce carnet comme un journal intime. Il n'y aura pas d'effet magique, juste de quoi nourrir le grand arbre aux feuilles de paon.
La plume utilisera leur sang en retour pour écrire. Seul le détenteur du carnet peut le détruire.
L'arbre quant à lui est entretenu et protégé par la famille, s'il venait à être détruit, la famille se retrouverait sans doctrine et serait donc vouée à mourir magiquement parlant.
Spécialité
Les Montgomery sont des imaginaristes.
Ils dominent le manoir Montgomery situé aux alentours de Londres.
Beaucoup de carnet compose la grande bibliothèque autours de l'arbre, les Montgomery sont aussi gardien du savoir de la magie. Des créatures aujourd'hui disparues, de ce qu'elles furent et de ce qu'elles ne seront plus jamais. Des histoires, des légendes qu'ils ont écrites.
Dans le domaine sorcier, les imaginaristes sont reconnus pour leur savoir. Respectés et respectables, les imaginaristes sont neutres de base et n’œuvrent désormais que pour la préservation du secret. Car il y a une chose importante, sans imagination, il n'y a plus de famillle Montgomery. Et sans l'imaginaire, l'homme ne pourrait même plus envisager sa science.
Le grimoire de la famille n'en est pas vraiment un, il s'agit de tous ces carnets dont certains contiennent des rituels, formules et autres. Si le Montgomery en a le besoin, il trouvera dans son carnet la réponse au rituel qu'il cherche.
Membres
Patriarche: Morgan Montgomery
Matriarche: Enetari Montgomery
Héritier: Mathias Montgomery
Autres enfants: Matthew Montgomery et Mathilda Montgomery.
Cousins: Minerva Montgomery, Mahina Muireadhaigh
Famille Ouverte
Il est possible d'être un Montgomery et de porter le nom. Morgan eu des frères et des sœurs, des oncles et des tantes, il suffit de consulter sa fiche ici.
La seule chose demandée est d'avoir un don personnel lié à l'imagination, le pouvoir d'imaginariste étant détenu par Morgan, et de porter un prénom commençant par M.
Fay Woodsborrow- Messages : 202
Date d'inscription : 23/03/2010
Feuille de personnage
dd: age